La tension n'en finit pas de monter dans la majorité avec, en toile de fond, la réforme des institutions votée cet été.
Au lendemain des piques adressées par François Fillon au chef de file des députés UMP, Jean-François Copé (« Les Echos » d'hier), c'est un porte-parole de l'UMP qui a jeté hier de l'huile sur le feu.
Sur Canal+, Dominique Paillé, qui est aussi conseiller à l'Elysée, a à son tour rappelé les parlementaires à l'ordre, souhaitant qu'il y ait « un peu plus de coordination » et qu'ils « reviennent à une formule qui tienne compte des engagements électoraux de Nicolas Sarkozy ». « C'est le Parlement qui légifère », mais il faudrait que « les députés, dans le cadre de leur travail législatif, s'inscrivent davantage dans l'esprit qui est celui qui préside à la politique de l'exécutif », a-t-il insisté, citant le cas de la prime de transport supprimée par les députés en commission des Affaires sociales alors que le gouvernement souhaite la maintenir.
Au lendemain des piques adressées par François Fillon au chef de file des députés UMP, Jean-François Copé (« Les Echos » d'hier), c'est un porte-parole de l'UMP qui a jeté hier de l'huile sur le feu.
Sur Canal+, Dominique Paillé, qui est aussi conseiller à l'Elysée, a à son tour rappelé les parlementaires à l'ordre, souhaitant qu'il y ait « un peu plus de coordination » et qu'ils « reviennent à une formule qui tienne compte des engagements électoraux de Nicolas Sarkozy ». « C'est le Parlement qui légifère », mais il faudrait que « les députés, dans le cadre de leur travail législatif, s'inscrivent davantage dans l'esprit qui est celui qui préside à la politique de l'exécutif », a-t-il insisté, citant le cas de la prime de transport supprimée par les députés en commission des Affaires sociales alors que le gouvernement souhaite la maintenir.
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