06/12/2007

Sarkozy n'a pas le niveau d'un eleve de terminale Eco.

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Je lis cet article tres bien ficelé sur Politique.net
..en somme :
Sarkozy et les consequences de son annonce :
Vendre des parts de l'Etat d'EDF pour alimenter un fond pour les universités.. on sait on a entendu.
et là :
consequences :une perte de 4,7 Milliards d'euros...
Mais mieux encore :
Christine Lagarde a appris la nouvelle à la télévision
je repete :
Christine Lagarde a appris la nouvelle à la télévision
La mini nistre de l'economie Lagarde (attention Lagarde l'economie, chien mechant) a appris cette decision à la télévision ?
Mini nistre de l'Economie et pas prévenue..
Non mais serieux il n'aurait pas mangé du Poutine Sarko ?



Et le delai que mettra Lagarde a mettre en vente les parts d'EDF coute cher en bourse...


et voui LE Grand par le capital(isme) et petit par la taille Sarkozy n'a pas le niveau d' un eleve de terminale économique.


Et voui le grand conciliateur President de tous les Francais de Droite ne consulte personne ne previent personne...


La prochaine fois Nico appelle Nono (Lagardère)




Voici qq demonstrations à l'appui.


je cite Alter Eco :


Mr Fremeaux
En revanche, à ceux qui l'accusent d'être le président des patrons, il sera tentant de répondre que cette affaire montre que ce n'est pas le cas car il n'en a visiblement pas les compétences en matière de gestion. Le B A BA, quand on souhaite céder un gros paquet d'actions, est de réaliser l'opération et de ne l'annoncer publiquement qu'une fois qu'elle est conclue. On évite ainsi tout mouvement de défiance des autres actionnaires qui, anticipant un afflux d'actions sur le marché et une forte baisse des cours, la déclenchent immanquablement en cherchant à vendre avant que le gros actionnaire ait commencé à se débarrasser de ses titres.




C'est ce qu'avait bien compris Arnaud Lagardère lorsqu'il avait cédé une partie de ses titres EADS début 2006.

Nicolas Sarkozy, tout à sa logique politique, a claironné haut et fort qu'il allait vendre une partie d'EDF avant même que Christine Lagarde ait engagé la négociation avec les investisseurs institutionnels susceptibles d'acquérir en bloc les titres proposés pour les reclasser ensuite progressivement.




Sans surprise, le cours d'EDF a baissé de 4,1 % dans les deux jours qui ont suivi.




Et l'Etat n'a réussi à placer que 45 millions de titres, soit 2,47 % du capital, alors qu'il envisageait d'en placer entre 2,5 % et 3,7 %. Au final, par rapport au cours qui prévalait le jour où la cession a été annoncée, ce sont plus de 150 millions d'euros qui ont été perdus pour les finances publiques. Des sous qui auraient permis par exemple la réfection d'une bonne partie de la toiture de l'Université Lyon 2...."

Et ca, ca clame !
Non, ca caLme !
(ah les jeunes ne connaissent pas les joies de la terminale B...mais "ES" d 'un des plus mauvais lycees de France à l'epoque , j'en suis)

autre article du Monde clement

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-986078@51-961158,0.html

Et l'article de chez politique.net :

http://www.politique.net/2007120503-vente-d-actions-edf-sarkozy-perd-1-milliard-d-euros.htm
"l'annonce de Nicolas Sarkozy a pris de court le ministère de l'Economie qui n'était pas au courant de l'arbitrage présidentiel. Christine Lagarde a appris la nouvelle à la télévision si bien que le lendemain, Bercy n'était absolument prêt à mettre en vente ces actions, un minimum de démarches administratives est nécessaire.




Faute d'une coordination entre l'Elysée et le ministère de l'Economie, il a fallu attendre lundi 03 décembre pour que l'Etat mette en vente ces actions.




Et ce délai de 72 heures coûte cher car entre temps, le cours de l'action a baissé de 3% et la capitalisation publique a perdu 4,7 milliards d'euros.




Cette chute était prévisible et correspond à une règle de base des boursiers : pourquoi acheter cher aujourd'hui ce qu'on peut avoir pour moins cher demain, puisqu'un plus grand nombre d'actions sera mis sur le marché."


Je ne trouve pas (à cette heure) confirmation que Lagarde apprit la vente des parts de l'Etat lors de l'allocutionà la télé.


Si quelqu'un voit ca ;)


Faites signe !







1 commentaire:

Anonyme a dit…

Salut,

Cet abruti n'en est pas à son coup d'essai dans ce domaine.
Martin Hirsch (qu'est ce que ce c.. espérait en intégrant le gouvernement Sarko?) a, à l'époque, connu la même mésaventure: Apprendre, par medias interposés, qu'une décision relevant de ses compétences AVAIT été prise à l'insu de son plein gré.

Ce président me fait honte.
Jamais vu un incompétent pareil.
Ne serait-ce que dans la façon "de bosser".
Dans quel état va sortir le pays?

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