(Source : Bakchich.info)
Même à New-York, Carla Bruni-Sarkozy continue à lire les articles qui parlent d’elle. Elle a ainsi découvert mardi dans la journée (décalage horaire oblige) le papier de Libération, relatif à la visite de son cher époux Nicolas Sarkozy aux Etats-Unis, titré « Après le shopping, Sarkozy parlera de la crise financière » et relatant, avec plus de précisions que Bakchich ne le faisait déjà la veille, les journées agréables passées dans la Grosse pomme. Shopping, jogging, remise de décoration, déjeuners et dîners dans les plus grands restaurants… Il faut croire que le récit de l’envoyé spécial n’a pas plu à la Première dame de France, car elle s’est aussitôt fendu d’un coup de fil à la rédaction du quotidien pour se lamenter. En précisant, avec quasiment des sanglots dans la voix, qu’elle n’avait acheté « qu’un ours en peluche et des médicaments homéopathiques ».
Celle qui, comme l’a raconté Bakchich, emmène en voyage son photographe attitré, en l’occurrence Pascal Rostain, ex-paparazzi sans état d’âme, commence à agacer la presse people. Pour Carla, désigner son photographe, c’est le moyen de contrôler sa « production ». Ce qui signifie que ne sont mis en vente auprès des hebdos people que des clichés ayant reçu l’imprimatur de la dame.
Récemment, pour faire sa couverture, VSD avait refusé de choisir l’un de ces portraits officiels. Lui préférant une image libre prise par un photographe d’agence non adoubé par la femme du président. Colère de la dame Bruni-Sarkozy qui a, comme ce mardi à Libération, elle-même téléphoné à la rédaction de VSD pour hurler contre ce choix. Elle a tellement râlé qu’elle s’est rendue compte que tout cela allait trop loin et s’est excusée.
Quand Sarko contrôlera vraiment l’ensemble de la presse, Carla n’aura plus besoin de téléphone.
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