Le gouvernement, a-t-il souligné, est ouvert au "dialogue", "marque de fabrique du sarkozysme", mais ne changera pas de cap.
"La manifestation a été dense mais elle n'est pas historique puisqu'il y a peu de temps, en 2006 à deux reprises (lors des manifestations contre le Contrat première embauche, NDLR), il y a du monde à peu près peu près comparable. Je pourrais trouver d'autres exemples sur la décennie précédente", a-t-il expliqué lors du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro.
La "cote de sympathie" du mouvement dans l'opinion est également comparable aux mobilisations antérieures, a-t-il noté. Face à l'inquiétude de l'opinion, le gouvernement ne changera pas de cap, a ajouté le ministre. "Changement de cap bien sûr que non, dialogue bien sûr que oui", a-t-il dit, en soulignant que les réformes sont "indispensables si nous voulons préserver notre mode de vie".
Quant à la rencontre entre Nicolas Sarkozy et les syndicats, prévue au cours du mois de février, elle ira "au-delà" de l'agenda social, a-t-il déclaré. AP
1 commentaire:
Bah... quand il y aura plus de 3 millions de personnes dans la rue, il finira bien par consentir à dire que ces manifestations sont historiques...
Enregistrer un commentaire