"Nous avons mis en oeuvre depuis 20 mois une politique qui consiste à ne renouveler qu'un fonctionnaire sur deux qui part en retraite. Nous continuerons", indique le porte-parole du gouvernement.
(source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20090201.OBS2584/sarkozy_ne_changera_pas_de_cap_selon_chatel.html )
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Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel a indiqué, dimanche 1er février, que le président de la République "réfléchit au meilleur moment pour communiquer vis-à-vis des Français" pour faire acte de "pédagogie, d'explication" face à la crise.
Luc Chatel a ajouté qu'un changement de cap serait "la pire des réponses", confirmant par exemple le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.
"Le président réfléchit à une intervention plus globale vis à vis des Français. La date n'est pas définie. Il devrait se décider dans les prochains jours. Il réfléchit au meilleur moment pour communiquer vis-à-vis des Français", a déclaré Luc Chatel sur Radio J, interrogé sur une possible intervention télévisée du chef de l'Etat jeudi prochain. "Il va aussi évoquer les chantiers sociaux les réformes à venir de cette année", a-t-il ajouté.
Nicolas Sarkozy "sait très bien qu'il y a une grosse attente en matière de pédagogie d'explication", a-t-il estimé trois jours après les grèves et manifestations de jeudi.
"Pas de changement de cap"
"La pire des réponses serait de changer totalement de cap" en matière économique, a-t-il poursuivi.
Le secrétaire d'Etat à l'Industrie répondait aux déclarations de François Chérèque (CFDT), qui demandait sur Europe 1 ce changement de cap avec des mesures en faveur de la relance de la consommation et d'un moratoire sur les suppressions de postes dans la fonction publique.
"Nous avons mis en oeuvre depuis 20 mois une politique qui consiste à ne renouveler qu'un fonctionnaire sur deux qui part en retraite. Nous continuerons. Il n'y aura pas de moratoire", a répondu M. Chatel.
"Dans ce plan de relance il y a un certain nombre de mesures fortes en faveur de la consommation", a-t-il ajouté, citant la prime à la casse pour l'automobile et la prime de solidarité active (PSA, 200 euros) qui devrait être versée en mars à quatre millions de ménages modestes.
Luc Chatel a ajouté qu'un changement de cap serait "la pire des réponses", confirmant par exemple le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.
"Le président réfléchit à une intervention plus globale vis à vis des Français. La date n'est pas définie. Il devrait se décider dans les prochains jours. Il réfléchit au meilleur moment pour communiquer vis-à-vis des Français", a déclaré Luc Chatel sur Radio J, interrogé sur une possible intervention télévisée du chef de l'Etat jeudi prochain. "Il va aussi évoquer les chantiers sociaux les réformes à venir de cette année", a-t-il ajouté.
Nicolas Sarkozy "sait très bien qu'il y a une grosse attente en matière de pédagogie d'explication", a-t-il estimé trois jours après les grèves et manifestations de jeudi.
"Pas de changement de cap"
"La pire des réponses serait de changer totalement de cap" en matière économique, a-t-il poursuivi.
Le secrétaire d'Etat à l'Industrie répondait aux déclarations de François Chérèque (CFDT), qui demandait sur Europe 1 ce changement de cap avec des mesures en faveur de la relance de la consommation et d'un moratoire sur les suppressions de postes dans la fonction publique.
"Nous avons mis en oeuvre depuis 20 mois une politique qui consiste à ne renouveler qu'un fonctionnaire sur deux qui part en retraite. Nous continuerons. Il n'y aura pas de moratoire", a répondu M. Chatel.
"Dans ce plan de relance il y a un certain nombre de mesures fortes en faveur de la consommation", a-t-il ajouté, citant la prime à la casse pour l'automobile et la prime de solidarité active (PSA, 200 euros) qui devrait être versée en mars à quatre millions de ménages modestes.
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