Eric "de & Ramzy" en G.A.V, vous desirez prevenir qui ? - Pierre Sarkozy !

Dans une grande enquête qui vient de paraître, l'hebdomadaire Le Point s'interroge sur les accointances particulières de Nicolas Sarkozy et la police. Le magazine explique comment le président a placé ses hommes aux plus hauts postes, instauré un climat de rudesse auprès des préfets et comment "chaque incident, chaque soupçon alimentent aussitôt le doute sur la neutralité du fonctionnement policier."
Après cette petite introduction, revenons à ce qui nous intéresse : les people ! Pour étayer certains de ses propos, Le Point revient sur quelques affaires comme l'envahissement de la villa corse de Christian Clavier ou le vol du scooter de Jean Sarkozy, qui toutes auraient bénéficié d'une attention particulière de la police créant la polémique.
Pour Le Point, le fonctionnaire de police lambda ou pas, ne tient pas à déplaire au président et ce système de "traitement privilégié profite même à son entourage lointain". L'hebdo prend l'exemple d'Eric Judor. L'acteur et humoriste, membre du duo Eric et Ramzy avec Ramzy Bédia, a eu quelques démêlés avec la justice au printemps dernier.
Dans la nuit du 11 au 12 avril, Judor est interpellé en flagrant délit d'achat de quatre grammes de cocaïne dans le 8e arrondissement de la capitale. Il est immédiatement placé en garde-à-vue au 36, quai des Orfèvres. D'après Le Point, "une fois dans les locaux de la police , il a donné aux policiers le nom de la personne à prévenir - c'est toujours la question qu'on pose à une personne en garde à vue - Il a répondu : Pierre Sarkozy."

Au petit matin, le chef de la brigade des stups est venu en personne voir le comédien pour qu'il puisse récupérer son téléphone portable et qu'il soit entendu immédiatement. Le magazine précise que cette restitution de portable aurait empêché les enquêteurs de scruter la mémoire de son portable... Eric Judor sera libéré dès la fin de son audition avec une injonction de soin. Il est reparti en voiture, mais toujours d'après le magazine, "l'homme qui l'attendait ce soir-là dans sa voiture est resté, lui, en garde à vue..." Si c'était son dealer, c'est logique en même temps, Judor n'a été considéré que comme consommateur, comme un certain Jean-Luc Delarue !
Judor a-t-il bénéficié d'un traitement de faveur grâce à son amitié avec l'aîné du président ? Le Point l'écrit noir sur blanc
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