.Tete d'affiche..premiere partie...caprice de diva ...on se croirait dans un mauvais festival...
avec de mauvais groupes !
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avec de mauvais groupes !
« Ça va être sanglant, prédit un proche de Xavier Bertrand. Les couteaux sont encore rangés mais au lendemain de la présidentielle, ils vont être mis sur la table. »
Tapis dans « l’ombre », nombreux sont ceux qui, à l’UMP, attendent leur
heure comme les moines l’abbé. La jeune génération compte son lot de
futurs prétendants au trône élyséen. Mais avant de statuer sur
l’identité de son candidat en 2017, le parti encore majoritaire va
devoir se trouver un président, élu par les adhérents, comme le
prévoient les statuts de l’UMP en cas de défaite de Nicolas Sarkozy.
Convaincus que celui qui raflera la tête du parti bénéficiera d’une
rampe de lancement idéale vers l’Elysée, Jean-François Copé et François
Fillon ont d’ores et déjà commencé à faire du gringue aux militants.
Pour séduire, il faut être vu. Le meeting de la Concorde
représentait donc pour les ambitieux UMPistes l’occasion parfaite de
briller devant un parterre d’adhérents. Pas question dans ces conditions
de céder quoi que ce soit –une seconde de temps de parole, une place
dans l’ordre d’apparition, des applaudissements trop nourris- à
l’adversaire, fût-il du même camp.
Psychodrame copéiste
Quand Jean-François Copé reçoit le déroulé prévisionnel de
la petite sauterie de la Concorde, validé par le staff du
président-candidat, son sang ne fait qu’un tour. Lui, le patron de
l’UMP, doit parler en premier, avant NKM, Xavier Bertrand et François
Fillon, et ainsi jouer les chauffeurs de salle devant une place de la
Concorde qui risque fort de ne pas faire le plein à 14h, heure de son
intervention. Quel affront ! Le député-maire de Meaux en est persuadé,
son image de chef de troupes pléthoriques ne peut qu’en sortir écornée.
Second détail qui lui reste en travers de la gorge, la présence sur
scène de son ennemi juré, Xavier Bertrand. Non seulement le ministre du
Travail a la chance de pouvoir s’exprimer à la tribune mais en prime,
son intervention précède directement celle du Premier ministre. C’en est
trop pour Copé. « Il a menacé de ne pas venir à la Concorde si Xavier Bertrand parlait, relate-t-on, atterré, dans l’entourage du ministre. Sarkozy
ne pouvait pas se permettre de tenir meeting sans le chef du parti à
ses côtés donc il a cédé en acceptant que Copé introduise le
rassemblement puis reprenne la parole plus longuement juste avant
Fillon. En échange de quoi, Copé a été prié de digérer l’allocution de
Bertrand. » Fermez le ban ? Pas tout à fait.
Colère filloniste
De l’avis de ses détracteurs comme de ses fidèles, « JFC » est un « tueur politique »,
prêt à tout pour évincer ses rivaux et affaiblir leur pouvoir. Souvent
vaincu par François Fillon à l’applaudimètre militant, Copé ne comptait
évidemment pas donner à son concurrent futur dans la course à la
présidence du parti, le plaisir d’être applaudi par la foule.
Consigne fut donc discrètement passée par l'équipe Copé d’envoyer la
musique de campagne de Nicolas Sarkozy aussitôt le discours du Premier
ministre achevé. Objectif : couvrir les applaudissements. « C’est scandaleux !, s’émeut un collaborateur de François Fillon. On n'a jamais vu une telle façon de faire. » Pourtant, la guerre ne fait que commencer.
http://www.marianne2.fr/Concorde-bisbilles-et-guerre-d-ego-en-coulisses_a216994.html
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