de Eric JozsefSarkozy c’est mon ami. Depuis le 6 mai, les responsables de la droite italienne rivalisent d’affection et se disputent les faveurs du nouveau président français. Depuis quelques jours, les murs de Rome sont notamment tapissés de portraits du nouveau chef de l’Etat français ornés du slogan "Sarkozy gagne, l’Europe change".Les militants d’Alliance nationale (AN), héritiers du néofasciste Mouvement social italien, souhaitent ainsi célébrer la victoire d’un proche de leur leader Gianfranco Fini. Engagé depuis le milieu des années 1990 dans un recentrage de son parti avec l’abandon des références au passé mussolinien, celui-ci se verrait bien dans la peau d’un Sarkozy transalpin.Dans l’ombre de Silvio Berlusconi, le patron d’AN cherche ainsi à capitaliser son amitié avec l’ancien ministre de l’Intérieur dont il avait signé il y a quelques semaines la préface de l’édition italienne du livre Témoignage.
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https://youtu.be/-kX9Fkfv6kA
20/05/2007
en italie sarko a beaucoup d'amis
samedi 19 mai 2007 -10:23
de Eric JozsefSarkozy c’est mon ami. Depuis le 6 mai, les responsables de la droite italienne rivalisent d’affection et se disputent les faveurs du nouveau président français. Depuis quelques jours, les murs de Rome sont notamment tapissés de portraits du nouveau chef de l’Etat français ornés du slogan "Sarkozy gagne, l’Europe change".Les militants d’Alliance nationale (AN), héritiers du néofasciste Mouvement social italien, souhaitent ainsi célébrer la victoire d’un proche de leur leader Gianfranco Fini. Engagé depuis le milieu des années 1990 dans un recentrage de son parti avec l’abandon des références au passé mussolinien, celui-ci se verrait bien dans la peau d’un Sarkozy transalpin.Dans l’ombre de Silvio Berlusconi, le patron d’AN cherche ainsi à capitaliser son amitié avec l’ancien ministre de l’Intérieur dont il avait signé il y a quelques semaines la préface de l’édition italienne du livre Témoignage.
de Eric JozsefSarkozy c’est mon ami. Depuis le 6 mai, les responsables de la droite italienne rivalisent d’affection et se disputent les faveurs du nouveau président français. Depuis quelques jours, les murs de Rome sont notamment tapissés de portraits du nouveau chef de l’Etat français ornés du slogan "Sarkozy gagne, l’Europe change".Les militants d’Alliance nationale (AN), héritiers du néofasciste Mouvement social italien, souhaitent ainsi célébrer la victoire d’un proche de leur leader Gianfranco Fini. Engagé depuis le milieu des années 1990 dans un recentrage de son parti avec l’abandon des références au passé mussolinien, celui-ci se verrait bien dans la peau d’un Sarkozy transalpin.Dans l’ombre de Silvio Berlusconi, le patron d’AN cherche ainsi à capitaliser son amitié avec l’ancien ministre de l’Intérieur dont il avait signé il y a quelques semaines la préface de l’édition italienne du livre Témoignage.
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