PARIS (Reuters) - Jacques Chirac ne peut répondre favorablement à la démarche des Juges d'Huy et Pons qui ont souhaité l'entendre comme témoin dans le cadre de l'instruction du dossier dit "Clearstream", fait savoir vendredi dans communiqué le bureau de l'ancien chef de l'Etat, invoquant la Constitution
Il rappelle en outre un communiqué diffusé le 28 avril 2006 par l'Elysée, dans lequel le président démentait "catégoriquement avoir demandé la moindre enquête visant des personnalités politiques dont le nom a pu être mentionné".
"S'agissant des dossiers dans lesquels il aurait été mis en cause pour des faits antérieurs à son entrée en fonction en 1995, le Président Chirac a demandé à son avocat Me Jean Veil de prendre contact avec les magistrats en charge de ces dossiers pour les informer qu'il était à leur disposition pour répondre aux questions qui lui seraient utilement posées", ajoute le bureau du président.
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