Lu dans le Canard enchaîné du mercredi 1er Août
Si plus de 6000 000 ont assisté, le 14 Juillet au concert de la fraternité voulu par Sarko, il a bien fallu payer la facture de ce « concert de la rupture ». Soit 300 000 euros au bas mot sans compter les cachets de Michel Polnareff et des nombreux artistes qui l’ont précédé sur scène : un DJ français, un groupe allemand, une chanteuse italienne et un canadienne d’origine portugaise.
Au départ, Nicolas avait eu une idée lumineuse, : faire financer ce concert vaguement européen par la commission de Bruxelles. Le problème, c’est que José Manuel Baroso a refusé, sur le thème : « ce n’est pas la fête de l’Europe, c’est celle des Sarkozy. »
Quand aux sponsors M6 et RTL, ils avaient déjà à payer la pub du concert et sa retransmission. Du coup, c’est le ministère de la culture qui a hérité de la note, alors qu’il racle déjà les fonds de tiroirs. Christine Albanel n’a plus qu’a chanter « on ira tous ay paradis ».
Ou bien pondre une nouvelle taxe spéciale concert du 14 juillet sur les ventes de confettis et les pétards…
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