Bouygues pourrait prendre 35% d'un ensemble Areva-AlstomPARIS
(Reuters) -
Le groupe Bouygues devrait avoir 35% d'un ensemble né du rapprochement entre Areva et Alstom, écrit Le Canard enchaîné dans son édition à paraître mercredi.
"Le schéma favori de l'Elysée est pour le moment le suivant: Areva et Alstom fusionneraient et une société holding de tête serait créée. Avec 35% du capital, Bouygues, qui vendrait sa téléphonie mobile, en serait le premier actionnaire, l'Etat ne conservant que 18% et le reste du capital étant placé en bourse", rapporte l'hebdomadaire.
Il ajoute que certaines filiales qui travaillent essentiellement pour la défense ne seraient pas concernées par cette privatisation d'Areva. Il souligne aussi que la question de la participation de Siemens dans Areva NP, qui fabrique les chaudières nucléaires, n'est pas encore résolue.
L'Elysée a confirmé mardi que le président de la République, Nicolas Sarkozy, réfléchissait à l'avenir de la "filière énergétique" mais a assuré qu'il n'y avait pas d'urgence.
Selon Les Echos, un groupe de travail incluant le cabinet de conseil McKinsey et la banque HSBC a été constitué à la demande de l'Elysée pour étudier une refonte de la filière nucléaire.
Chez Bouygues, on s'est refusé à tout commentaire.
Personne n'a pu être joint au ministère de l'Economie et des Finances.
"Le schéma favori de l'Elysée est pour le moment le suivant: Areva et Alstom fusionneraient et une société holding de tête serait créée. Avec 35% du capital, Bouygues, qui vendrait sa téléphonie mobile, en serait le premier actionnaire, l'Etat ne conservant que 18% et le reste du capital étant placé en bourse", rapporte l'hebdomadaire.
Il ajoute que certaines filiales qui travaillent essentiellement pour la défense ne seraient pas concernées par cette privatisation d'Areva. Il souligne aussi que la question de la participation de Siemens dans Areva NP, qui fabrique les chaudières nucléaires, n'est pas encore résolue.
L'Elysée a confirmé mardi que le président de la République, Nicolas Sarkozy, réfléchissait à l'avenir de la "filière énergétique" mais a assuré qu'il n'y avait pas d'urgence.
Selon Les Echos, un groupe de travail incluant le cabinet de conseil McKinsey et la banque HSBC a été constitué à la demande de l'Elysée pour étudier une refonte de la filière nucléaire.
Chez Bouygues, on s'est refusé à tout commentaire.
Personne n'a pu être joint au ministère de l'Economie et des Finances.
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