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Par EuroNews euronews - Mercredi 14 novembre, 19h32
Cinq députés issus du Parti de la Grande Roumanie ont en effet claqué la porte cette semaine. Raison invoquée : les déclarations de la petite fille du Duce Alessandra Mussolini. Elle-même membre de l'ITS, elle a accusé les Roumains d'avoir fait de la délinquance un mode de vie, après le meurtre d'une Italienne attribué à un jeune Roumain d'origine Rom.
Il n'en fallait pas plus pour faire imploser un groupe déjà très disparate et miné par les querelles. Composé de membres du Front National français ou encore du Vlaams Belang belge, il avait été créé il y a dix mois grâce au ralliement d'élus roumains et bulgares. Passé sous la barre des vingt membres, l'ITS termine là sa courte existence. Ses élus rejoindront les rangs des non-inscrits.
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