nzo Rossi n'est pas un patron richissime. Mais sa société de pâtes tient la route en Italie. L'été dernier, il tente une expérience. A l'instar de ses salariés, il se rémunère à hauteur du Smic et tente de faire face aux dépenses de la vie courante. Au bout de trois semaines, il est entièrement fauché et ne peut boucler le mois.
La conclusion qu'il tire de l'expérience, c'est qu'on ne peut pas vivre à l'heure actuelle avec quelque 1.000 euros par mois. Il décide donc d'augmenter illico presto de 200 euros tous ses salariés. 200 euros car il estime que c'est la somme qui lui a manqué pour finir le mois sans extras.
Enzo Rossi se défend de tout altruisme. Il estime que pour que ses troupes travaillent bien, elles doivent vivre décemment.
source:http://sarkozynews.canalblog.com/
2 commentaires:
mon père s'occupait d'une entreprise de moules(création) et de canoës/kayak/avirons.
il s'occupait de beaucoup de choses et trés actif pour l'entreprise.
mais il ne se rénumérait pas avec un salaire mirobolant; le minimum; voir des mois à 3000 francs.
il ya plein de gens qui ont compris des choses aujourd'hui, et qui cherche à être juste.
mais par un "procédé", nottament par le biais de la télévision, les gens ont été gavés de choses. Ne plus savoir a force qu'est ce ce que l'on trouve aimé ou non.
Ils utilisent des couleurs violentes, qu'ils se servent pour porter la masse,par exemple sur le plateau télé de la star-ac; mais moi j'aime bien les couleurs qui tournent, et les mouvements, mais je haïs la manipulation.
pour la révolution, il faut ammener les couches sociales à se rencontrer. la dilution des classe, mais non comme veut l'ammener Sarko, en une masse populaire sous son "régime"; mais en respectant le principe de libre-arbitre.
Merci pour ton commentaire Nanarhood!
Enregistrer un commentaire