28/04/2010

Persévérant dans l'erreur, l'Élysée évoque de nouveau "l'armistice du 8 mai 1945"

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Nous avions déjà signalé l'an dernier une grossière erreur des services de l'Élysée : ils avaient diffusé, lors de la 64e célébration nationale de la capitulation allemande du 8 mai 1945, un dossier de presse évoquant un soi-disant "armistice du 8 mai 1945" qui n'a jamais existé. Pensez-vous que la leçon fut apprise ? Nullement. Cet après-midi même, une note technique envoyée aux journalistes membres de l'association de la presse présidentielle annonce l'organisation, à Colmar, le 8 mai prochain, du "65e anniversaire de l'armistice de 1945".


Or, il n'y a jamais eu d'armistice à la fin de la Seconde Guerre mondiale, mais bien une capitulation pure et simple, sans condition, des nazis, qui s'est produite en deux temps : au PC du général Dwight Eisenhower, à Reims, le 7 mai 1945, et, deux jours plus tard, au PC du général Gueorgui Joukov, à Berlin, en présence du général français de Lattre de Tassigny.

En 2009, de mauvais camarades nous avaient expliqué que la faute était imputable aux services du secrétaire d'État aux Anciens Combattants. L'excuse ne pourra pas resservir cette année.
 Nous avions déjà signalé l'an dernier une grossière erreur des services de l'Élysée : ils avaient diffusé, lors de la 64e célébration nationale de la capitulation allemande du 8 mai 1945, un dossier de presse évoquant un soi-disant "armistice du 8 mai 1945" qui n'a jamais existé. Pensez-vous que la leçon fut apprise ? Nullement. Cet après-midi même, une note technique envoyée aux journalistes membres de l'association de la presse présidentielle annonce l'organisation, à Colmar, le 8 mai prochain, du "65e anniversaire de l'armistice de 1945".


Or, il n'y a jamais eu d'armistice à la fin de la Seconde Guerre mondiale, mais bien une capitulation pure et simple, sans condition, des nazis, qui s'est produite en deux temps : au PC du général Dwight Eisenhower, à Reims, le 7 mai 1945, et, deux jours plus tard, au PC du général Gueorgui Joukov, à Berlin, en présence du général français de Lattre de Tassigny.

En 2009, de mauvais camarades nous avaient expliqué que la faute était imputable aux services du secrétaire d'État aux Anciens Combattants. L'excuse ne pourra pas resservir cette année.
source:http://www.lepoint.fr/
 
 
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