27/04/2010

Quand Sarkozy était contre l’interdiction du voile

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Après le coup du "Il faut rendre constructibles les zones inondables", qui a dit : « Si quelqu’un veut aller faire ses courses avec son voile, au nom de quoi devrait-on l’en empêcher ? » Nicolas Sarkozy, le 18 juin 2003.

 Pourtant, il appelle aujourd’hui à l’interdiction totale de la burqa. Dans le premier cas, la tempête Xynthia a tout changé. Dans le second, c’est le cataclysme électoral. Explication du Parisien : "Plutôt partisan au départ d’une ligne douce (il préconisait une résolution parlementaire suivie de décrets et de mesures législatives ciblées), il a durci le ton après la défaite de la majorité aux régionales et le rebond du FN. Déjà, lors du débat sur le voile à l’école, il s’était d’abord opposé à la loi d’interdiction voulue par Jacques Chirac (loi du 15 mars 2004)". "Au nom de quoi" interdire le voile alors, Nicolas ? Mais en celui de la "dignité de la femme", de "l’égalité des sexes" et de "la sécurité publique", brâme le choeur les ânes de la majorité.

Mais en 2003, ces excellentes raisons étaient-elles moins valables ? D’où cette confirmation évidente : la loi d’interdiction de la burqa n’est qu’une manoeuvre électoraliste. Et partant, Sarkozy n’est qu’un arriviste capable de dire tout et son contraire, du moment qu’il pense que ça lui rapportera des voix (d’extrême droite).
Après le coup du "Il faut rendre constructibles les zones inondables", qui a dit : « Si quelqu’un veut aller faire ses courses avec son voile, au nom de quoi devrait-on l’en empêcher ? » Nicolas Sarkozy, le 18 juin 2003. Pourtant, il appelle aujourd’hui à l’interdiction totale de la burqa. Dans le premier cas, la tempête Xynthia a tout changé. Dans le second, c’est le cataclysme électoral. Explication du Parisien : "Plutôt partisan au départ d’une ligne douce (il préconisait une résolution parlementaire suivie de décrets et de mesures législatives ciblées), il a durci le ton après la défaite de la majorité aux régionales et le rebond du FN. Déjà, lors du débat sur le voile à l’école, il s’était d’abord opposé à la loi d’interdiction voulue par Jacques Chirac (loi du 15 mars 2004)". "Au nom de quoi" interdire le voile alors, Nicolas ? Mais en celui de la "dignité de la femme", de "l’égalité des sexes" et de "la sécurité publique", brâme le choeur les ânes de la majorité. Mais en 2003, ces excellentes raisons étaient-elles moins valables ? D’où cette confirmation évidente : la loi d’interdiction de la burqa n’est qu’une manoeuvre électoraliste. Et partant, Sarkozy n’est qu’un arriviste capable de dire tout et son contraire, du moment qu’il pense que ça lui rapportera des voix (d’extrême droite).
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