08/01/2011

Appels à témoins : aiderez-vous la police sur Twitter et Facebook ?

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Appels à témoins : aiderez-vous la police sur Twitter et Facebook ?

Depuis le 1er janvier, les appels à témoins de région parisienne sont relayés sur deux réseaux sociaux.



Voici (ci-dessus) ce que vous pouvez lire sur le compte Twitter @prefpolice de la préfecture de police de Paris.

Et si, par le plus grand des hasards, ça vous dit quelque chose, vous pouvez cliquer sur le lien, vous arriverez sur la page (ci-dessous) du site de la même PPP :



Sur cette page, vous retrouvez les appels à témoins correspondant aux dernières enquêtes de police du STJA (service du traitement judiciaire des accidents) qui n'ont pas abouti.

Avec quelques précisions sur les faits, et un numéro de téléphone pour joindre les enquêteurs 24h/24 : 01.44.08.62.70.

Le plus souvent, il s'agit d'accidents de la circulation, mais il peut être question d'incidents en tous genres sur la voie publique. Le tout, pour l'instant, sur Paris et sa petite couronne (92, 93 et 94).




"Le service du traitement judiciaire des accidents nous fait part des appels à témoins lancés, le plus souvent, en cas de contentieux ou d'accidents graves de la circulation impliquant des personnes blessées ou décédées" nous explique le chef de l'unité Internet de la préfecture de police de Paris.

La diffusion des appels à témoins en ligne n'est pas nouvelle, puisque ces appels sont relayés depuis 2006 sur le site de la PPP. Bien cachés (il faut cliquer sur l'onglet "prévention", puis "appel à témoins"), ils n'avaient jusqu'ici que bien peu de visibilité. D'où l'idée du service Web de la PPP de les relayer, depuis le 1er janvier, sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook.

Ci-dessous, le même appel à témoins que celui cité plus haut, mais cette fois sur la page Facebook de la PPP :



Le but ? "Toucher un plus large public. Les internautes qui vont sur Facebook et Twitter n'ont pas forcément le réflexe d'aller consulter les appels à témoins du site de la préfecture de police. Sur les réseaux sociaux, ils peuvent tomber par hasard sur le message, en parler à d'autres, ça multiplie les chances. On ne sait jamais."

Le chef de l'unité Internet de la PPP, qui convient qu'il est trop tôt pour établir un premier bilan, nous confie que les cas les plus difficiles à résoudre pour le STJA sont "les délits de fuite après un accident de la circulation, la nuit, à Paris."
 
le post
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un article propulsé par TORAPAMAVOA :
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