29/09/2016

Buisson dit "la balance de l'extreme" chapitre 3

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C'est une véritable obsession ! Dans un livre à paraître le 6 octobre aux éditions Robert Laffont, la journaliste Michèle Cotta rapporte des propos d'une rare violence tenus par l'ancien chef de l'Etat sur l'apparence de ses adversaires – et "amis" – politiques. L'attaque au physique semble être une constante chez l'ex-président de la République. En 2007, il aurait par exemple jugé Gérard Larcher "trop laid"pour intégrer le gouvernement, comme le rapporte Patrick Buisson dans son livre, "la Cause du peuple" (éditions Perrin). Dans "Comment en est-on arrivé là ? Histoire d’un chaos politique", Michèle Cotta montre que l'ancien président a beau jurer avoir changé, son style et ses excès demeurent. "L'Obs" en publie des extraits.

4 janvier 2015

Sarkozy, interrogé hier soir, lors d’un dîner, après avoir été reçu par Hollande à l’Elysée dans l’après-midi :
"Alors, comment l’avez-vous trouvé ? 
– De près, immonde, a-t-il répondu. Ses cheveux sont mal teints, il a l’air d’un ministre chinois. La graisse dégouline sous sa chemise, et, en dessous, il a des petites jambes d’enfant…"
J’écrivais hier que la présence de Sarkozy auprès de Hollande avait quelque chose de grand ! Bien naïf de ma part. [...]

19 mars 2015

L’équipe du "Point" déjeunait avant-hier avec Nicolas Sarkozy au siège de l’UMP. [Le journaliste Hugo] Domenach le décrit comme extrêmement agressif, bourré de tics, en mouvement perpétuel, l’adjectif désobligeant à la bouche. Juppé ? Un vieillard dont il n’a pas peur. Hollande ? Pas de mots pour le définir, il n’affiche que du mépris. Marine Le Pen ? Il la trouve "épaisse". […]

19 mai 2015

Rencontre avec Hervé Gaymard. Il est aujourd’hui au premier rang de l’équipe d’Alain Juppé et organise sa campagne. Nous nous sommes donné rendez-vous à la Coupole, en fin d’après-midi. Je lui demande comment il juge Sarkozy. Il le trouve "très énervé". [...]
"Il m’a reçu deux fois pendant son quinquennat, poursuit Gaymard [...]. La deuxième fois, nous étions dans les jardins de l’Elysée, [...], au moment, en 2011, où tout le monde s’interrogeait que l’éventuel remplacement de François Fillon par Jean-Louis Borloo. Sarko portait des Ray-Ban, il avait mis les pieds sur la table. Il a tenu des propos terribles sur Fillon, 'notaire de province', au regard torve, et sur Borloo, tellement nerveux qu’il se 'bouffe les crottes de nez'. Je n’en croyais pas mes oreilles !" [...]
un article propulsé par TORAPAMAVOA :
http://torapamavoa.blogspot.com Clikez "plus d'infos" ci dessous pour lire la suite de l'article...^^

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