L'annonce du mariage de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni samedi à l'Elysée a fait la une de la presse européenne. Et a fourni aux journalistes une bonne raison de continuer à se gausser du "petit Nicolas" et autres "Speedy Sarkozy".
L'annonce du mariage de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni samedi à l'Elysée a fait la une de la presse européenne. Et a fourni aux journalistes une bonne raison de continuer à se gausser du "petit Nicolas" et autres "Speedy Sarkozy".
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Pendant que le quotidien allemand Berliner Zeitung titre avec tendresse "le Petit Nicolas s’est marié", la palme de l'ironie revient au quotidien italien La Repubblica, qui se gausse des "noces soixante-huitardes de Carla et Sarko". Et de poursuivre : "Il y a une nouvelle first lady à l’Elysée. Une étrangère. Non pas parce qu’elle est d’origine italienne mais parce que c’est une chanteuse, une modèle, avec ses propres ambitions. C'est une touche soixante-huitarde chez un président conservateur."
Pour le Corriere della Sera, plus sobrement et plus méchamment aussi, "un chapitre médiatisé jusqu’à l’ennui s’achève, un autre débute". Pour l'espagnol El Pais, le mariage "tombe à pic. Ceux qui accusent Sarkozy d’utiliser sa vie privée comme rideau de fumée à ses problèmes politiques y trouveront une nouvelle justification."
La plupart des quotidiens britanniques estiment que ce mariage "précipité" de "Speedy Sarkozy" s'explique par la visite programmée du président français en mars prochain à Buckingham Palace. L'union permet d'éviter un problème de protocole, car la reine refuserait de recevoir un homme non marié et sa girfriend.
Quant aux quotidiens roumains, en préambule à la visite de Nicolas Sarkozy aujourd'hui à Bucarest, ils titrent : "Le mari de Carla Bruni arrive ce lundi en Roumanie".
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