Un acte de désespoir ou une sordide conséquence de la crise. Un homme âgé de 43 ans a posté une petite annonce jeudi sur internet. En échange d'un emploi en CDI, il propose de donner .... son rein ! Alain Canovaro, 43 ans, est au RMI depuis son licenciement en 2002 d'une entreprise de transports. « Je suis RMiste, et je n'ai aucune envie de le rester », explique-t-il dans un entretien à la Dépêche du Midi qui révèle l'information ce vendredi.
Alors pour s'en sortir, «tout seul», cet ancien enfant de la Ddass a décidé de compter sur son propre corps et de proposer d'échanger son rein contre un emploi.
L'homme explique au journal que cette idée lui est venue de son «père adoptif, qui avait dû subir une ablation d'un rein. Je sais ce que je risque médicalement, mais mon mère adoptif vit bien avec un seul rein, alors pourquoi pas moi ? »
Seule condition pour donner son organe : Alain réclame un emploi stable. «Je vais m'entourer d'avocats», prévient-il.
Un acte de désespoir ou une sordide conséquence de la crise. Un homme âgé de 43 ans a posté une petite annonce jeudi sur internet. En échange d'un emploi en CDI, il propose de donner .... son rein ! Alain Canovaro, 43 ans, est au RMI depuis son licenciement en 2002 d'une entreprise de transports. « Je suis RMiste, et je n'ai aucune envie de le rester », explique-t-il dans un entretien à la Dépêche du Midi qui révèle l'information ce vendredi.
Alors pour s'en sortir, «tout seul», cet ancien enfant de la Ddass a décidé de compter sur son propre corps et de proposer d'échanger son rein contre un emploi.
L'homme explique au journal que cette idée lui est venue de son «père adoptif, qui avait dû subir une ablation d'un rein. Je sais ce que je risque médicalement, mais mon mère adoptif vit bien avec un seul rein, alors pourquoi pas moi ? »
Seule condition pour donner son organe : Alain réclame un emploi stable. «Je vais m'entourer d'avocats», prévient-il.
«Dans la crise, il faut chercher des issues. Moi, j'ai trouvé celle-là. En plus, je ferai quelque chose de bien», conclut l'homme qui espère retrouver un emploi dans le secteur hospitalier.
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2 commentaires:
Aujourd'hui le marché des reins, demain celui des ventres avec les mères porteuses...
je propose mon rien contre un emploi :-)
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