Le chef de l’État énonçait, hier, devant des représentants des forces de l’ordre, une série de mesures pour lutter contre la délinquance.
À chaque fait divers, son plan de prévention contre la délinquance. Et a fortiori, en période électorale.
Le chef de l’État énonçait, hier, devant des représentants des forces de l’ordre, une série de mesures pour lutter contre la délinquance.
À chaque fait divers, son plan de prévention contre la délinquance. Et a fortiori, en période électorale. Revoilà donc les vieilles ficelles. Depuis plusieurs semaines, le chef de l’État n’a pas manqué de battre le rappel de ses ministres afin qu’ils élaborent une batterie de propositions sécuritaires. De Xavier Darcos à Michèle Alliot-Marie, en passant par la garde rapprochée avec Christian Estrosi, tous ont donc mis la main à la pâte afin que le président de la République puisse une nouvelle fois revêtir le costume qui lui sied le mieux avant les échéances européennes : celui de protecteur de la nation et, surtout, des sacro-saintes victimes de la délinquance. Il y a quelques jours, déjà, Xavier Bertrand tentait d’écarter toute accusation de manipulation sécuritaire afin de justifier les mesures à venir : « C’est quelqu’un qui a sorti son poignard pour poignarder une enseignante ou c’est nous qui avons ressorti le thème de l’insécurité ? » Attendu sur la lutte contre les violences scolaires, Nicolas Sarkozy a élargi le spectre de son intervention à la lutte contre la délinquance. La mise en scène même de son discours, devant un parterre de représentants des forces de l’ordre, ressemblait fort à ses sorties de ministre de l’Intérieur.
lire l'article complet: http://www.humanite.fr/
un article propulsé par TORAPAMAVOA :
http://torapamavoa.blogspot.com/ Clikez LIRE LA SUITE ci dessous pour lire la suite de l'article...^^
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire