Didier Barbelivien, à la rescousse de Nicolas Sarkozy
Fidèles d’entre les fidèles. Même déstabilisé, Didier Barbelivien défend avec aplomb Nicolas Sarkozy. Le chanteur, qui connaît bien le président, a déploré sur RTL l’attitude de la presse à l’égard de l’Elysée. «Je ne sais plus trop quoi penser de ce que divulgue la presse, de ce qu’elle divulgue sur internet», a confié l’interprète de A toutes les filles dont le soutien inconditionnel au chef de l’Etat lui vaut d’être mis sur la sellette.
Le Canard enchaîné écrit en effet dans un de ses confidentiels que «le chanteur a piqué une colère devant des ministres lors du défilé du 14 juillet», s’écriant «je ne supporte pas quand on attaque Nicolas. C'est insupportable tous ces connards de journalistes qui passent leur temps à le critiquer. Si je vais un jour sur le plateau du Grand Journal, je mettrai tout de suite un coup de boule à Jean-Michel Aphatie».
Des envies de pugilat qui relèvent du fantasme, assure Didier Barbelivien. «Je ne sais pas d’où ils sortent ça. C’est du n’importe quoi… Aphatie fait une tête de plus que moi et ce serait vraiment très réducteur comme manière de débattre». En revanche son agacement vis-à-vis des médias est réel. «Que je me sois indigné de ce que la presse fait au président, je le fais tous les jours», révèle-t-il.
N’hésitant pas à monter sur le podium durant la présidentielle de 2007, Didier Barbelivien constitue un des piliers des amitiés «showbizz» du chef de l’Etat. Tous ces liens n’ont pas forcément résisté à l’exercice du pouvoir. En janvier dernier, Faudel expliquait au Parisien «avoir cru au Père Noël» en soutenant Nicolas Sarkozy en 2007. «Le discours sur la diversité me séduisait. On était en plein débat sur la discrimination au travail, les CV anonymes mais après, tu compares les discours et les actes». «Et là, j'ai l'impression que l'on m'avait pris pour un symbole de réussite, issu de l'immigration d'un quartier populaire. J'étais l'Arabe de service», regrettait--il.
Le Canard enchaîné écrit en effet dans un de ses confidentiels que «le chanteur a piqué une colère devant des ministres lors du défilé du 14 juillet», s’écriant «je ne supporte pas quand on attaque Nicolas. C'est insupportable tous ces connards de journalistes qui passent leur temps à le critiquer. Si je vais un jour sur le plateau du Grand Journal, je mettrai tout de suite un coup de boule à Jean-Michel Aphatie».
Des envies de pugilat qui relèvent du fantasme, assure Didier Barbelivien. «Je ne sais pas d’où ils sortent ça. C’est du n’importe quoi… Aphatie fait une tête de plus que moi et ce serait vraiment très réducteur comme manière de débattre». En revanche son agacement vis-à-vis des médias est réel. «Que je me sois indigné de ce que la presse fait au président, je le fais tous les jours», révèle-t-il.
N’hésitant pas à monter sur le podium durant la présidentielle de 2007, Didier Barbelivien constitue un des piliers des amitiés «showbizz» du chef de l’Etat. Tous ces liens n’ont pas forcément résisté à l’exercice du pouvoir. En janvier dernier, Faudel expliquait au Parisien «avoir cru au Père Noël» en soutenant Nicolas Sarkozy en 2007. «Le discours sur la diversité me séduisait. On était en plein débat sur la discrimination au travail, les CV anonymes mais après, tu compares les discours et les actes». «Et là, j'ai l'impression que l'on m'avait pris pour un symbole de réussite, issu de l'immigration d'un quartier populaire. J'étais l'Arabe de service», regrettait--il.
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