Vivre à Neuilly...
Perpignan: un ex-conseiller municipal UMP de Neuilly devant les assises, pour viols sur mineure
Par tian , http://www.lepost.fr/article/2008/02/20/1101394_perpignan-un-ex-conseiller-municipal-ump-de-neuilly-devant-les-assises-pour-viol-sur-mineure.html?xtor=RSS-30
C'est un notable qui comparait aujourd'hui, et pour trois jours, devant la cour d'assises des Pyrénées-Orientales.
Thierry Leprince, 48 ans, exerce comme chirurgien-dentiste à Neuilly-sur-Seine. Il était également ex-conseiller municipal UMP de cette ville...
Il est soupçonné de viols commis sur une adolescente de 12 ans, en novembre 1991 à Sceaux (Hauts-de-Seine) puis à Perpignan, en 1992.
Thierre Leprince reconnaît des agressions sexuelles sur la jeune victime.
Par contre, il nie tout acte de pénétration.
En 1991, la jeune victime vivait à Thuir, près de Perpignan. Une voisine, Maryse Dabrowsky, arrive à convaincre ses parents de pouvoir l'emmener à Paris, en avion, pour des prises de vue en studio. La jeune fille arrive à Sceaux, chez Thierry Leprince...qui a l'époque se faisait appeler le Prince de Saint-Hilaire.
La jeune adolescente attendra plusieurs années pour porter plainte.
Elle garde au fond d'elle même la trace indélébile de son histoire.
En 1998, prenant son courage à deux mains, elle dépose plainte contre Thierry Leprince et Maryse Dabrowsky.
Lors de l'enquête, l'entremetteuse, Maryse Dabrowsky a confirmé une grande partie les dires de la jeune victime. Par ailleurs, une autre mineure expliquera aux enquêteurs avoir été présente à l'une des séances photos à Sceaux, au cours de laquelle "le photographe faisait l'amour" à la jeune adolescente...
Ce n'est qu'en 2003, que Thierry Leprince sera entendu par la police. Il sera incarcéré durant six mois. Dans un premier temps il nie les viols. Puis, par la suite, il admet des agressions sexuelles sur la jeune fille.
A la suite de cette incarcération, Thierry Leprince abandonnera la politique.
Mais reprendra, le plus normalement du monde, son métier de chirurgien-dentiste à Neuilly-sur-Seine. Le voilà aujourd'hui devant la Cour d'assises des Pyrénées-Orientales... face à sa victime.
S'il est déclaré coupable, il risque jusqu'à vingt ans de prison.
source: Le Parisien
**La suite et fin de ton message blog.**
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