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03/07/2009

Yves Jego debarqué 10 minutes avant l'annonce officielle. (Bien fait ! )

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*Bien fait !



Rappelons à cette occasion qq casseroles fameuses de Mr Jego ;)
Avec une préference pour celle ci :



*

*Interrogé pour savoir s'il avait été averti de son départ seulement 10 minutes avant l'annonce de la nouvelle équipe ministérielle, Yves Jégo a répondu sur Europe 1 : "Oui, c'est vrai, je l'ai appris un peu brutalement, mais enfin quand un ministre est débarqué je crois qu'il n'a pas vraiment le droit de se plaindre."



Source :*





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27/06/2009

Tableau de chasse du Remaniement : du balai !

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Torapamavoa resiste plus longtemps que les mini-nistres !
Rageant einh ?
^^

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Yves Jego : Nous ne te regretterons pas ! (image)

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Yves Jego : Nous ne te regretterons pas


*A lire :
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10/05/2009

Selon Doc Gyneco,On met 500 eruos dans un sac Hermes, on peut mettre 500 euros pour aller aux Antilles"

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Selon Doc Gyneco,

"Aller en outre mer ...On met 500 eruos dans un sac Hermes, on peut mettre 500 euros pour aller aux Antilles""





Yves Jégo lance, le 5 mai, une opération de promotion du tourisme aux Antilles, sinistré après le long conflit social. Dès midi, 10 000 séjours aux Antilles, à partir de 489 € , hôtel plus...

Yves Jégo, secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer, lance aujourd'hui, une opération de promotion du tourisme aux Antilles, sinistré après le long conflit social.

Dès midi, 10 000 séjours aux Antilles, à partir de 489 euros, hôtel plus avion, seront vendus sur le site http://www.partirauxcaraibes.fr 
jusqu'au 15 mai à minuit.

Apres verifictaions des services de Torapamavoa Dom Tom , il s'avere qu'il existe 2 propositions à 489 euros sur les 266 offres du site ! 
A des periodes où bien sur sur tout le monde pourra partir !
du 31 aout 2009 au 21 Octobre 2009 ;) 
ou 
du 1er mai au 30 juin ;)
alors heureux ?
Sachez tout de meme que le Séjour n'incluant pas
    - L'assurance annulation, bagages et rapatriement (facultative)
    - Les transferts aéroport/hôtel/aéroport
    Merci Jego ;)

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03/04/2009

Entourloupe en Guadeloupe

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Guadeloupe : le gouvernement pourrait amoindrir la portée de l'accord salarial
LEMONDE.FR avec AFP | 03.04.09 | 19h45 • Mis à jour le 03.04.09 | 20h35

'accord signé après près de six semaines de grève générale en Guadeloupe entre syndicats et patronat, sous l'égide du gouvernement, pourrait être amoindri dans les prochaines semaines. Selon plusieurs sources syndicales citées par l'AFP, le gouvernement, qui garantit une partie de l'augmentation salariale de 200 euros, s'apprêterait à limiter l'extension de cet accord en retirant la clause stipulant que la hausse sera à la charge des employeurs d'ici trois ans.




L'information a filtré après une réunion de la Commission nationale de la négociation collective (CNNC), qui doit être consultée sur cet accord négocié de haute lutte en début d'année. "Nous avons eu confirmation sur le fait qu'il y ait non-extension des points qui nous préoccupaient. C'est essentiel pour nous et vaut indirectement engagement du ministre", a affirmé Jean-François Veysset de la CGPME.

Le document prévoit, comme l'avait demandé le collectif LKP, une augmentation de 200 euros par mois aux salariés gagnant entre 1 et 1,4 smic. Cette hausse se divise en une augmentation immédiate de 50 euros, une aide de l'Etat (100 euros pendant trente-six mois) et des collectivités locales (50 euros pendant douze mois). Au moment de sa signature, la portée de l'accord se limitait aux organisations patronales signataires (minoritaires) et aux entreprises acceptant de le signer. Il a été rejeté par une coalition patronale du Medef et de la FNSEA.

DOMOTA PROMET "DES GRÈVES DANS TOUTES LES ENTREPRISES"

Or, les 150 euros assurés par l'Etat et les collectivités devaient être pris en charge par les entreprises d'ici trois ans, si l'accord était intégralement étendu, comme le demande le LKP. La nouvelle mouture de l'accord, qui doit être arbitré dans les prochains jours par le ministre du travail, Brice Hortefeux, serait dont amputée de l'article 5, qui oblige les employeurs à assurer les 200 euros d'augmentation de salaire au bout de trois ans.

"Il reste quand même les dispositions qui s'appliquent immédiatement, mais pas celles qui préjugent des futures négociations de branche ou d'entreprise, ni de ce que sera le dispositif d'aide dans trois ans", constate Marie-Pierre Iturrioz (CGT). "L'accord est vidé de sa substance", regrette pour sa part Marie-Alice Medeuf-Andrieu de FO. le porte-parole du LKP, Elie Domota, a réagi en promettant "des grèves dans toutes les entreprises" en cas d'accord modifié.

"L'Etat, sous les ordres du Medef, a fait le choix d'installer durablement des troubles sociaux en Guadeloupe, a-t-il encore déclaré. Nous ne pourrons pas admettre que les salariés perdent 50 euros dans un an et 200 euros dans trois ans (...) Autrement, ce serait accepter une Guadeloupe a deux vitesses".








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23/02/2009

Yves Jégo : La Porte !! " Pose ta Dem mode ! "

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Torapamavoa VOTE POUR la demission de YVES JEGO!




Vous approuvez ?



FAITES SUIVRE !
Telechargez l'image et relayez la sur vos reseaux sociaux,vos blogs ,pages perso etc ;)




19/02/2009

Jégo en fusible ?

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/> [Au sein même de la majorité, le député UMP Christian Vanneste a conseillé à M. Jégo de démissionner].Hier, 18h21
AFP Pascale JUILLIARD

Jégo s'interroge sur l'utilité de son poste

il y a 57 min
Libération.fr










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7 jours pour dire la même chose... entre temps émeutes et 1mort, bravo le gouvernement !!

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Fillon annonce une "augmentation très significative" des bas salaires en Guadeloupe "à la charge du patronat"

il y a 55 min
AP

"Une proposition nouvelle" a été mise sur la table en Guadeloupe, a annoncé jeudi François Fillon. Elle "se solde par une augmentation très significative des salaires, et en particulier des bas salaires, à la charge du patronat".




Cette proposition "vient d'être mise sur la table des négociations" à "15h, à l'instant même", a dit le Premier ministre lors de la séance des questions au gouvernement au Sénat.

Cette "proposition nouvelle se solde pour une part par une augmentation très significative des salaires, et en particulier des bas salaires à la charge du patronat, à la charge des entreprises".

"De l'autre côté, nous avons proposé que ces augmentations soient accompagnées d'un calcul différent du Revenu de solidarité active, non seulement en Guadeloupe mais dans l'ensemble des départements d'outre-mer, qui permettra de compenser", a-t-il ajouté.

Mais "en aucun cas le gouvernement n'acceptera que les augmentations de salaires dans les entreprises privées soient prises en charge par les contribuables", a réaffirmé François Fillon. "Je vous dis non. Je n'accepterai pas cette disposition".

"Nous avons vu la violence se déchaîner sur l'île de la Guadeloupe", a déploré le chef du gouvernement. "Les responsables (du) meurtre" d'un syndicaliste "seront poursuivis, seront jugés", car "rien ne justifie que l'on tire sur un homme qui, par ailleurs, exerçait une fonction de syndicaliste dans les conditions parfaitement légales", a-t-il dit.

Lors de la réunion prévue dans l'après-midi à l'Elysée autour de Nicolas Sarkozy, "nous sommes prêts à tout mettre sur la table", a assuré M. Fillon.

"Le gouvernement est prêt à remettre à plat l'organisation économique de l'Outre-Mer" et "à un effort de solidarité renforcé" via la RSA, a confirmé le secrétaire d'Etat Yves Jégo. AP





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DOM : Mam à Mia ! La Ministre des DOM ne connait pas tout à fait le sujet...

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La Ministre des DOM ne connait pas tout à fait le sujet...






La Ministre des DOM ne connait pas tout à fait le sujet...

Mercredi, 18 Février 2009 16:22
Les DOM au centre des débats au Parlement....Michelle Alliot-Marie s'adresse au député PS de la Martinique... un certain "Monsieur Mansour"...Mansour ? Mansour ??? Elle ne connait pas bien les députés des DOM, madame la Ministre des DOM... elle a mal révisé ses fiches... c'est MANSCOUR... aie... Un député UMP a même demandé la démission de Yves JEGO...

(Source : http://www.bondamanjak.com/a-la-une/6671-la-ministre-des-dom-ne-connait-pas-tout-a-fait-le-sujet.html )



Merci Cat' ;)

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15/02/2009

[video] : Guadeloupe : bientot une situation extremement tendue?"

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Vision pessimiste et alarmiste d'yves jégo qui renvoie la responsabilité du patronnat et des syndicats, en cas d'echec des negociations...

12/02/2009

Guadeloupe : LKP quitte les discussions

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Guadeloupe: rupture des discussions entre le collectif LKP et les médiateurs nommés par Fillon

il y a 16 min
AFP

Les discussions entre le collectif Lyiannaj kont pwofitasyon (LKP), qui est à l'origine de la grève générale affectant la Guadeloupe depuis le 20 janvier, et les deux médiateurs désignés mardi par le Premier ministre François Fillon ont été rompues jeudi, a annoncé le LKP.


"Nous ne reviendrons pas à la table des négociations s'il n'y a pas signature du pré-accord trouvé dimanche matin" a affirmé jeudi, au sortir de la réunion avec les médiateurs, un dirigeant du LKP, Alain Plaisir.

Les six négociateurs du LKP ont affirmé jeudi qu'ils souhaitaient que l'Etat co-signe le pré-accord élaboré dimanche, à l'issue de plus de vingt heures de négociations avec le patronat.

Ce pré-accord prévoyait 200 euros d'augmentation des salaires, en contrepartie d'un allègement de 108 millions d'euros de charges salariales.

Selon le LKP, les discussions avec les médiateurs, Jean Bessières et Serge Lopez, "ne peuvent reprendre que sur la base de ce pré-accord".

Le collectif a annoncé qu'il organisait un meeting jeudi à Pointe-à-Pitre pour expliciter sa position. Une manifestation serait en préparation pour samedi.

Les deux médiateurs pourraient rencontrer dès jeudi après-midi les six négociateurs patronaux désignés par le Mouvement des entrepreneurs de Guadeloupe (MEG).

Le MEG doit réaffirmer à cette occasion, selon des sources patronales, sa préférence pour des négociations dans les branches, essentiellement l'hôtellerie de tourisme, et entreprise par entreprise.

Le patronat guadeloupéen, qui n'avait jamais accepté de participer par le passé à des négociations globales avec les confédérations et centrales syndicales implantées dans l'île, dissimule à peine son hostilité au principe d'un accord interprofessionnel.

Il s'appliquerait à l'ensemble des entreprises insulaires. Le principe d'un tel accord semble avoir la préférence du secrétaire d'Etat à l'outre-mer, Yves Jégo, selon son entourage.

L'idée, "qui était dans l'air", selon un collaborateur du président du conseil régional, Victorin Lurel, d'une rencontre entre le LKP et les élus durant la journée de jeudi semble avoir des difficultés à se concrétiser.

Une source proche du président du Conseil général, Jacques Gillot, s'est déclarée surprise par la rupture des discussions entre LKP et médiateurs, en soulignant que la réunion élus-LKP était destinée à mettre à profit les avancées qui auraient pu être enregistrées à l'issue de la deuxième réunion du LKP avec les médiateurs.

Plus aucune perspective d'issue à la grève générale ne se dessinait jeudi à la mi-journée.






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10/02/2009

Antilles françaises: Jégo revient pour dire non

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Jégo retourne en Guadeloupe, Fillon dit non à une aide directe de l'Etat

il y a 29 min
LeMonde.fr


Le secrétaire d'Etat à l'outre-mer, Yves Jégo, va retourner aux Antilles avec deux médiateurs, a annoncé, mardi 10 février, François Fillon, tout en prévenant que 'l'Etat ne saurait, à l'évidence, se substituer aux partenaires sociaux dans les responsabilités qui leur reviennent'.



Le premier ministre opposait, ce disant, une fin de non-recevoir à la demande du patronat guadeloupéen de voir l'Etat participer au financement de la hausse réclamée de 200 euros sur les bas salaires. Le collectif 'Liyannaj Kont Pwofitasyon' (Collectif contre l'exploitation outrancière), à l'origine de la grève générale qui paralyse la Guadeloupe depuis trois semaines, réclame au nombre de ses 133 revendications contre 'la vie chère' une augmentation de 200 euros nets pour les bas salaires qui bénéficierait à 45 000 personnes.

Les 132 autres revendications ont été satisfaites, notamment un versement anticipé du revenu de solidarité active (RSA), une baisse du prix des carburants, le gel des loyers des logements sociaux en 2009, ou encore une baisse de 10 % des prix de cent produits dans la grande distribution.

Une médiation sera tout de même conduite par Yves Jégo, qui doit repartir en fin de journée avec deux négociateurs : le directeur général adjoint du travail, Jean Bessière, et Serge Lopez, directeur général du travail d'Aquitaine. Yves Jégo fera halte en Martinique, en proie depuis jeudi dernier à un mouvement de grève à l'appel des principaux syndicats de l'île pour 'une augmentation de 300 euros pour tous'.




09/02/2009

En Guadeloupe, le départ surprise d'Yves Jégo

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(Source : http://www.liberation.fr/politiques/0101318044-en-guadeloupe-le-depart-surprise-d-yves-jego)

Au 20ème jour de la grève «contre la vie chère», le secrétaire d’Etat à l’Outre-mer a annoncé dimanche son retour à Paris. Un départ jugé précipité sur l’île.

***


Coup de théâtre en Guadeloupe: au 20ème jour de la grève «contre la vie chère», le secrétaire d’Etat à l’Outre-mer Yves Jégo a annoncé dimanche son retour à Paris, tandis que la mobilisation s’intensifiait dans la Martinique voisine, où le conflit social a essaimé.

Le départ surprise - précipité, dit-on dans l’île - de M. Jégo, qui s’était engagé à rester jusqu’à l’émergence d’une solution, a été mal accueilli sur place.

Le député PS Eric Jalton a appelé «le peuple debout à peser, par sa mobilisation, face à la violence que nous fait l’Etat». Jacques Gillot, président (app. PS) du Conseil général, s’est dit «révolté».

De son côté, M. Jégo a affirmé qu’il considérait «comme un honneur» l’émoi provoqué par l’annonce de son départ: «La décision a été prise en début d’après-midi et tout le monde a été informé: il n’y a aucune raison de s’affoler», a-t-il dit sur Radio Caraïbes Internationale (RCI).

M. Jégo s’est dit étonné qu’on fasse «une affaire parce que, simplement, je prends un avion pour aller chercher des solutions à Paris». «Je le promets, je reviens le plus vite possible», a affirmé le secrétaire d’Etat, attendu à Paris lundi à 7h30.

Le départ de M. Jégo, qui doit rendre compte au Premier ministre François Fillon et à sa ministre de tutelle Michèle Alliot-Marie, intervient alors qu’un préaccord avait été atteint dimanche matin, après 20 heures de négociations non-stop, entre le patronat et le collectif LKP («contre l’exploitation outrancière», réunissant syndicats, partis et associations) sur une hausse des bas salaires.

Les services de M. Jégo admettent qu’un «blocage subsiste sur les modalités techniques et juridiques, ainsi que le montant financier de mise en oeuvre d’un accord salarial interprofessionnel».

Auparavant, le patronat tout comme le porte-parole du LKP Elie Domota avaient tous les deux souligné ce problème du financement.

Aux termes du préaccord, «les 80.000 salariés du privé devraient avoir une amélioration salariale», selon M. Domota: 200 euros pour les salariés percevant jusqu’à 1,6 fois le Smic, et 3% pour les mieux rémunérés, à négocier entreprise par entreprise ou dans les branches.

Mais M. Domota en avait chiffré le coût à «108 millions d’euros, que le patronat réclame maintenant à l’Etat».

Un des négociateurs patronaux, Patrick Vial-Collet, a affirmé que «les entreprises n’ont pas les moyens de subvenir à ces augmentations». Selon lui, «cet accord, s’il y a lieu, doit avoir un financement garanti par l’Etat».

D’où, selon les négociateurs, la nécessité d’un feu vert de Matignon.

Installé depuis le 1er février à Basse-Terre (sud de l’île), siège de la préfecture, M. Jégo avait multiplié contacts et sessions de négociations.

Le départ de M. Jégo a aussi été très commenté en Martinique, en grève depuis jeudi, et où la mobilisation s’est intensifiée, avec des fermetures forcées par les manifestants d’une dizaine de grandes surfaces.

Les services d’Yves Jégo ont souligné à ce sujet qu’il «suivait également, chaque jour, l’évolution de la situation en Martinique» et prendrait à Paris «tous les contacts nécessaires pour apporter rapidement aux Martiniquais des réponses, à l’image de ce qui a été fait en Guadeloupe».

Lundi à 15H00 (20H00 à Paris), un nouveau round de négociations devait s’ouvrir à Fort-de-France entre autorités, patronat et le nouveau «collectif du 5 février» (intersyndicale et associations).

Ce collectif réclame notamment une baisse de 30% sur les produits de première nécessité, que refusent les responsables de la grande distribution.

(Source AFP)

08/02/2009

Guadeloupe : Yves Jégo annonce 108 millions d'Euros ?!

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Guadeloupe : Yves Jégo a annoncé que l'Etat pourrait financer la hausse des bas salaires à hauteur de 108 millions d'euros.


voir aussi :
http://torapamavoa.blogspot.com/2009/02/une-depeche-tres-inquietante.html
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On a frôlé l'affrontement à Basse-Terre entre les acteurs des négociations qui avaient débuté hier aux alentours de 11h. La fatigue aidant, le ton est monté plusieurs fois entre les syndicats et le patronat mais aussi entre les élus et l'Etat. Une « longue » suspension de séance a ainsi été décidée par les protagonistes, vers 7h15 ce matin. Le Kolektif réclame toujours une hausse des bas salaires de 200€ net.
*****







« Kont pwofitasyon » : des négociations tendues
Après 20h de discussion, les différentes parties se retrouvent cet après-midi à 17h en Préfecture. Le Patronat et le Kolektif se sont mis d'accord sur une augmentation de 200€ net des bas salaires dans le privé. Le point d'achoppement concerne le financement de cette mesure.


Dimanche 8 février 2009 08:00 DOMactu.com Par Kristyan Julin


On a frôlé l'affrontement à Basse-Terre entre les acteurs des négociations qui avaient débuté hier aux alentours de 11h. La fatigue aidant, le ton est monté plusieurs fois entre les syndicats et le patronat mais aussi entre les élus et l'Etat. Une « longue » suspension de séance a ainsi été décidée par les protagonistes, vers 7h15 ce matin. Le Kolektif réclame toujours une hausse des bas salaires de 200€ net.


Une revendication acceptée finalement par le patronat. 80 000 personnes seraient concernées par cette mesure qui touche les salaires jusqu'à 1,6% SMIC. Mais voilà, c'est le financement de cette augmentation qui pose problème. Il faut, en effet, dégager la somme de 140 millions d'euros.

Yves Jégo a annoncé que l'Etat pourrait la financer à hauteur de 108 millions d'euros. Il doit d'abord en référer en plus haut lieu. Pour compléter cette somme, il a demandé au Président du Conseil général d'augmenter la taxe sur le tabac.

Une proposition mal acceptée par Jacques Gillot : cette taxe a déjà été augmentée à trois reprises.

Du côté du patronat, on attend des « engagements fermes de l'Etat » quant à sa « véritable » participation à ce financement. Les parties se retrouvent donc cet après-midi à la Préfecture de Basse-Terre, à partir de 17h.

Source




06/02/2009

Guadeloupe et Martinique toujours mobilisés

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Manifestation contre la vie chère et le chômage le 5 février 2009 à Fort-de-France


Regain de tension en Guadeloupe, poursuite de la grève en Martinique

il y a 2 heures 8 min
AFP

La situation s'est à nouveau tendue vendredi en Guadeloupe, paralysée depuis 18 jours par un mouvement social contre la vie chère, après des signes de déblocage en milieu de semaine, tandis que la grève qui s'est propagée jeudi en Martinique s'est poursuivie.





Manifestation contre la vie chère et le chômage le 5 février 2009 à Fort-de-France

En Guadeloupe, les négociations ouvertes la veille entre Etat, collectivités locales, patronat et le LKP, collectif de syndicats, partis et associations qui mène la grève, se sont poursuivies, mais sous tension.

Yves Jégo, secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, "installé" depuis dimanche dans l'archipel pour chercher une sortie à ce conflit durable, avait pu annoncer mardi la réouverture des stations-services.

Mais elle a été de courte durée. Outre des barricades érigées jeudi par les pompistes, l'unique dépôt pétrolier de la Guadeloupe, à Baie-Mahault (est de Basse-Terre), a été bloqué vendredi matin par des manifestants.

Ce dépôt appartient à la Société anonyme de la raffinerie des Antilles (SARA), dont Total détient 50% et qui exerce un monopole de fait sur l'approvisionnement des Antilles en carburant.

M. Jégo devait débattre avec les dirigeants de la Sara vendredi d'une nouvelle baisse du prix des carburants, après celle de 30 centimes intervenue en décembre à l'issue de trois jours de blocages et manifestations.

Le LKP ("comité contre l'exploitation outrancière") réclame une nouvelle baisse de 20 centimes.

Les écoles guadeloupéennes sont elles aussi restées fermées, et l'activité portuaire demeure interrompue: les syndicats du port et ceux des dockers ont déposé jeudi leur propre cahier de revendications.

Par ailleurs, le patronat guadeloupéen a nettement durci le ton envers M. Jégo. Le président de l'Ude-Medef, Willy Angèle, a affirmé que les patrons étaient "beaucoup plus intéressés que (le secrétaire d'Etat) au développement de notre pays".

A la reprise des négociations quadripartites, des participants se sont étonnés de l'optimisme exprimé un peu plus tôt à Paris par la ministre de l'Intérieur, également en charge de l'Outre-mer.

Michèle Alliot-Marie avait évoqué un "accord sur la plupart des questions abordées à la demande du collectif" LKP, et elle avait salué l'action de M. Jégo.

Mais le leader et porte-parole du LKP, Elie Domota, n'a pas perçu les progrès évoqués par MAM. Même sentiment chez le député PS et président du Conseil régional Victorin Lurel.

M. Jégo a expliqué qu'il pouvait y avoir un certain "décalage" entre la perception des négociateurs et celle des responsables gouvernementaux à Paris.

La Martinique a connu pour sa part son deuxième jour de grève générale pour protester, comme sa voisine, contre la vie chère.

Une nouvelle rencontre s'est ouverte vendredi matin entre pouvoirs publics, patronat et intersyndicale (12 syndicats) rejointe par des associations au sein d'un "Collectif du 5 février". Au centre des discussions: salaires, revenus et prix.

L'intersyndicale a rendu publique une "étude" réalisée par ses soins, selon laquelle le lait est 44,7% plus cher en Martinique qu'en métropole, et les pâtes près de 80%..."Les prix flambent, salaires, pensions et minimas sociaux n'augmentent pas ou peu", argumente-t-elle.

Des "opérations escargot" menées vers la préfecture où devait se tenir la réunion, ont provoqué de gigantesques embouteillages à Fort-de-France où quelques magasins avaient rouvert.

Les transports étaient très perturbés et des écoles fermées.