Pour financer son Plan Banlieue annoncé le 8 février, la secrétaire d’Etat à la Ville fait la tournée des ministères et des popotes afin de trouver quelques sous. La moisson est maigre, surtout du côté de Bercy et des entreprises
Nicolas est « pingre », révélait Cécilia dans le livre de la journaliste Anna Bitton. Fadela Amara vient d’en faire les frais, si l’on ose dire. Fin janvier, la secrétaire d’état à la politique de la ville escomptait un milliard d’euros pour financer son plan « Espoir Banlieue », bricolé à la va-vite.
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