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05/01/2012

Transhumance des hauts fonctionnaires, ils n'iront pas chez Pôle emploi

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.Courage fuyons 04/01/2012 à 18h20
La présidentielle approche, les conseillers se recasent
François Krug
Journaliste Rue89

A l'Elysée et dans les cabinets ministériels, c'est la saison des transferts vers l'administration ou le privé. Par peur d'une défaite de Nicolas Sarkozy ?

Le mouvement s'est enclenché un an avant la présidentielle. Depuis mai, 61 collaborateurs ont quitté les ministères et l'Elysée, pour se recaser dans l'administration ou le privé – notre décompte n'inclut pas les départs liés aux remaniements partiels du gouvernement.

16/09/2011

Quand Boris Boillon, ambassadeur en Tunisie, défendait Kadhafi

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Quand Boillon défendait Kadhafi (C+) par LePostfr source:dailymotion,le post.fr
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16/05/2011

Jeannette fait l'actu (aussi)

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.Diffamation sur son salaire doublé : Bougrab déboutée

LE FIGARO
Mots clés : La Canard enchaîné, Procès, Diffamation, FRANCE, Jeannette Bougrab
Par lefigaro.fr
13/05/2011 | Mise à jour : 15:53

L'ancienne présidente de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité avait porté plainte contre le Canard enchaîné, qui avait affirmé qu'elle avait fait doubler son salaire à son arrivée à la tête de l'institution.

La secrétaire d'Etat à la Jeunesse, Jeannette Bougrab, a perdu vendredi le procès en diffamation qu'elle avait engagé en juin 2010 contre le Canard enchaîné. L'hebdomadaire satirique avait à l'époque affirmé qu'elle avait fait doubler son salaire en arrivant à la présidence de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde).

Selon le journal, Jeannette Bougrab avait fait voter par le collège de la Halde une délibération visant à augmenter son indemnité mensuelle, qui passait de 6.900 à quelque 14.000 euros. Une information que l'intéressée avait immédiatement démentie, avant de porter plainte en diffamation.
«Je n'ai à aucun moment augmenté» mon traitement

Mais moins d'un an plus tard, le tribunal correctionnel de Paris a décidé de débouter Jeannette Bougrab et de relaxer le journal. La 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris a en effet jugé que l'enquête du Canard était «sérieuse» et a reconnu que «la fixation par la Halde même de la rémunération de sa présidente était surprenante». Et le tribunal d'insister : «Le chiffre livré par le Canard enchaîné à ses lecteurs» est «tout sauf fantaisiste».

A l'audience, Jeannette Bougrab avait toutefois répété une nouvelle fois qu'elle n'avait à «aucun moment augmenté le traitement» qui était le sien et qu'elle était payée comme son prédécesseur, l'ancien président de Renault Louis Schweitzer, soit 6.135 euros par mois.

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Jeannette Bougrab victime de propos racistes lors d'une réunion UMP

14/05/2011 à 23h51 - mis à jour le 15/05/2011 à 19h48
Jeanette Bougrab, présidente de la Halde

LEPOST

Jeannette Bougrab, Secrétaire d'Etat à la Jeunesse et ancienne Présidente de la HALDE était présente.

Elle a toutefois quitté précipitamment cette réunion après qu'un militant ait lancé "Y'en a marre des bougnoules !".

D'après le site Macommune.info qui a diffusé l'information en premier : "Un bon tiers des quelques 150 participants à la formation aurait alors pris position en faveur du militant, ce qui a entraîné le départ précipité de la secrétaire d’Etat. Selon des témoins, elle est partie furieuse, tandis que deux secrétaires nationaux du parti ont poursuivi la réunion sous le mode 'panique à bord'".

Sur Le Figaro.fr, Jean-Marie Binetruy, député du Doubs, affirme que le militant aurait présenté ses excuses. Il conteste cependant la version donnée par Macommune.info en affirmant que "la salle, où étaient rassemblés environ 150 personnes, "a tout de suite soutenu la ministre".

Mais Mme Bougrab était déjà loin et avait pris le premier train pour Paris.

Sur Bisonteint.net, des témoignages d'élus et militants présents à cette formation et ayant assisté à l'incident, confirment l'information. Les personnes présentes attestent que les propos étaient le fait d'un militant âgé qui a ensuite été exclu de cette réunion.

Voici les témoignages de deux conseillers municipaux UMP de Besançon présents au moment de l'incident.

Témoignages élus Besançon

D'après Pascal Bonnet, "les propos inacceptables" du militant "répondaient à un débat sur la nécessité de lieux de culte fermés pour interdire les prières en public."

Mais Mme Bougrab n'était peut-être pas personnellement visée.

Témoignages de Baptiste Serena, responsable des Jeunes UMP du Doubs :

Baptiste Serena


Michel Omouri, militant UMP présent sur les lieux, nous confirme que "les personnes ont été choquées par les propos d'un militant. Ils ont demandés aussi des excuses publiques. Ce qu'il a fait et ensuite il a été exclu de la réunion"

Reste à savoir qui a raison car on se doute que des consignes ont été données à l'UMP afin que cette affaire ne ternisse pas l'image du parti déjà écorné dans d'autres affaires de propos racistes.

car tout le monde garde notamment en mémoire la condamnation de Brice Hortefeux et des propos choquants de la députée François Brunel en mars dernier.


D'autres informations et témoignages collectés sur Bisonteint.net
L’auteur

Besacontin

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Sources : Le Figaro.fr, Bisontient.net, MaCommune.Info

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28/02/2011

Gérard !!!!! une grande gueule pour la ' Grande Muette'

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.Longuet plus 'casserole' que bling-bling

Le passé de Gérard Longuet peut-il gêner le gouvernement ?

LEMONDE.FR | 28.02.11 | 13h39 • Mis à jour le 28.02.11 | 14h08

En choisissant de se séparer de Michèle Alliot-Marie, Nicolas Sarkozy souhaitait en finir avec la polémique sur les vacances tunisiennes de la ministre, la dernière d'une série de scandales ayant touché, depuis un an, nombre de ministres.

Face à l'agacement croissant de l'opinion publique devant ces affaires à répétition de conflits d'intérêts, d'abus de privilèges et de soutiens politiques contestables, qui minent la popularité de l'exécutif, l'Elysée sait qu'il faut agir. Pourtant, en choisissant de faire entrer Gérard Longuet au gouvernement, Nicolas Sarkozy prend le risque de devoir faire face à de nouvelles polémiques. S'il n'a jamais été condamné, l'ancien patron de la majorité UMP au Sénat possède en effet un passé judiciaire complexe, et continue d'être à l'origine de polémiques régulières, le plus souvent dues à son "franc-parler".

UNE JEUNESSE À L'EXTRÊME DROITE

Il y a d'abord une jeunesse passée à la droite de la droite. Comme Alain Madelin ou Patrick Devedjian, Gérard Longuet a milité au sein d'Occident, un groupe d'extrême droite, pro-Algérie française. "Pour des raisons personnelles, j'étais Algérie française et anticommuniste. J'ai fait un bout de chemin avec la FEN [Fédération des étudiants nationalistes], avant de basculer vers Occident. Nous étions une bande de copains. Je n'ai jamais supporté que l'on m'interdise de m'exprimer […]. On se spécialisait dans la relation conflictuelle et musclée avec l'extrême gauche. On s'est pris des raclées, j'ai eu le cuir chevelu entamé", racontait au Monde en 2005 le désormais ministre de la défense.

Gérard Longuet n'a jamais caché ce passé sulfureux. "J'assume avoir été d'extrême droite. On s'est simplement trompés sur le modèle colonial, qui ne pouvait perdurer", précisait-il aussi au Monde. Le jeune étudiant ne s'en tient pas aux manifestations : il rédige tracts, textes et manifestes. A la dissolution d'Occident, en 1968, il contribue, avec d'autres étudiants, à créer le GUD (Groupe union défense), nouveau syndicat étudiant d'extrême droite, dont il aurait rédigé les premiers textes et le manifeste.

Son engagement le mène loin, jusqu'au tribunal, où il est condamné en 1967 à une amende pour "complicité de violence et voie de fait avec armes" en compagnie de douze autres militants d'extrême droite. Cet épisode contribue à "calmer" le futur ministre, qui finit par intégrer l'ENA en 1971. Selon l'actuel directeur adjoint de la rédaction de France Inter, Renaud Dély (Histoire secrète du Front national, 1999, Grasset), c'est depuis la prestigieuse école que Gérard Longuet rédige, l'année suivante, le programme économique d'un nouveau parti qui vient de voir le jour : le Front national.

UNE SUCCESSION D'AFFAIRES FINANCIÈRES ET JUDICIAIRES

Gérard Longuet finit par revenir à une droite plus modérée en intégrant le Parti républicain (PR, qui deviendra ensuite Démocratie libérale). Il devient rapidement un espoir de la droite, ce qui lui permet d'obtenir un poste de secrétaire d'Etat aux télécommunications dans le gouvernement Chirac (1986-1988), puis de revenir au gouvernement, à l'industrie, sous celui de Balladur (1993-1994). Mais il se retrouve rapidement cerné par les affaires judiciaires.

La plus importante concerne le financement du Parti républicain. Le juge Renaud Van Ruymbeke enquête sur des soupçons de détournement de commissions dans le cadre d'un marché d'adduction d'eau à Nantes. Une seconde affaire éclate au même moment, en rapport avec la construction par le ministre d'une villa à Saint-Tropez, pour laquelle il est soupçonné de recel d'abus de biens sociaux (lire cet article de L'Express de 1994), avant d'être relaxé en 1998.

Dans l'affaire du financement du Parti républicain, au terme de rebondissements judiciaires interminables et contestés (la juge Isabelle Prévost-Deprez, qui instruit l'affaire, estime en 2003 que "Gérard Longuet aura bénéficié d'un étrange 'découpage' des faits à l'occasion du traitement de l'ensemble des poursuites le concernant"), il bénéficiera finalement d'un non-lieu en 2010.

Il apparaît également lors du procès des marchés publics d'Ile-de-France, au cours duquel il est poursuivi pour recel de corruption, mais il bénéficie là encore d'une relaxe, prononcée en 2005.

INTÉRÊTS PUBLICS, INTÉRÊTS PRIVÉS

Gérard Longuet est un parlementaire très actif dans le civil. En 1986, il fonde une société de conseil baptisée Avenir 55. Celle-ci fournit à des grands groupes des prestations de conseil et des rapports. Mais la justice soupçonne lesdits groupes d'embaucher la société essentiellement pour bénéficier de l'entregent de l'ancien ministre.

La société Cogedim lui verse ainsi 172 000 euros pour un contrat de conseil considéré comme fictif par la juge Prévost-Deprez, qui n'a trouvé que deux rapports rédigés par Gérard Longuet, des copies d'ouvrages déjà publiés (lire cet article du Nouvel Observateur). Le parlementaire sera également relaxé dans cette affaire, en partie prescrite au moment du jugement. D'autres contrats douteux sont relevés par la justice, qui ne trouve pas de traces correspondant à l'activité pour laquelle la société a été rémunérée, mais aucune condamnation n'est prononcée.

L'affaire ne dissuade pas Gérard Longuet de la pratique du conseil aux entreprises. Administrateur de quelques sociétés en 2001 et 2005, il crée en 2004 une nouvelle structure, Sokrates Group, qui conseille de grands groupes financiers. Parmi ceux-ci, comme le relève Mediapart en 2010 (lien payant), le groupe Suez, toujours en attente d'une fusion avec Gaz de France, le charge en 2008 d'une "réflexion sur le déploiement du nucléaire en France". Gérard Longuet est alors sénateur, membre de la commission de l'énergie du Sénat. Il dit avoir quitté sa mission lorsqu'il est devenu chef de groupe parlementaire à la haute assemblée.

En plus de son travail parlementaire et de ses activités de conseil, Gérard Longuet trouve également le temps de se consacrer à d'autres activités. Depuis 2005, il préside ainsi l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF), structure de financement au rôle flou malgré quatre milliards d'euros de budget, au point que la Cour des comptes recommandera sa suppression en 2009. Un décret transforme en 2005 ce poste, bénévole, en travail rémunéré, 3 500 euros par mois. L'AFITF met en outre à disposition de M. Longuet un véhicule avec chauffeur.

Enfin, Martin Hirsch, ancien haut commissaire aux solidarités actives du gouvernement, relate, dans son livre Pour en finir avec les conflits d'intérêts (Stock, 2010), comment Gérard Longuet a profité, lorsqu'il avait en charge les postes et télécommunications, entre 1986 et 1988, de timbres rares qu'il recevait à titre honorifique et qu'il a par la suite revendus, pour plusieurs centaines de milliers de francs. Ce qui lui aurait permis de payer en grande partie sa maison de Saint-Tropez. Gérard Longuet démentira que la maison ait été "payée en timbres", et parlera de "1 000 euros par mois" de rémunération.

"HOMOPHOBIE", "CORPS FRANÇAIS TRADITIONNEL"… QUAND LONGUET DÉRAPE

La personnalité de Gérard Longuet est également contestée. Le ministre a connu plusieurs déboires du fait de "dérapages" dans ses propos publics. Le 13 novembre 2008, lors d'une commission sénatoriale au sujet d'une campagne de lutte contre l'homophobie lancée dans l'éducation nationale, Gérard Longuet lance : "J'avais une question malicieuse, mais je la poserai plus tard. C'était de savoir où commençait et où s'arrêtait l'homophobie. […] C'est extrêmement réjouissant de savoir que l'on promeut en effet des formes nouvelles de sexualité dans l'école et qu'on combat en même temps la pédophilie… Il y a quand même un moment où il faut savoir sur quelles valeurs on s'arrête."

Une phrase qui lui vaut une plainte d'une association de défense des homosexuels, qui estiment que le sénateur amalgame homosexualité et pédophilie. Ce dernier s'en défend, estimant qu'il "est parfaitement tolérant" avec l'homosexualité.

Plus récemment, en mars 2010, Gérard Longuet critique en des termes douteux la possibilité de nommer à la tête de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations (Halde) le socialiste Malek Boutih : "Il vaut mieux que ce soit le corps français traditionnel qui se sente responsable de l'accueil de tous nos compatriotes. Si vous voulez, les vieux Bretons et les vieux Lorrains – qui sont d'ailleurs en général italiens ou marocains – doivent faire l'effort sur eux-mêmes de s'ouvrir à l'extérieur", juge le sénateur. L'allusion au "corps traditionnel français" provoque un tollé de la gauche.

L'ex-sénateur sait aussi jouer avec les nerfs de l'exécutif. Adversaire acharné des 35 heures, il estime dans un entretien au Monde, en décembre 2010, que la France devra faire un choix : "Ou on sort de l'euro ou on sort des 35 heures, mais on ne peut pas avoir les deux." Quelques semaines après la fin de la crise sociale déclenchée par la réforme des retraites, la phrase embarrasse l'UMP.

Samuel Laurent

Pour en savoir plus : Compilation vidéo des dérapages de Gérard Longuet sur LePost.fr

Longuet ministre: déjà condamné à se taire?
envoyé par LePostfr. - L'actualité du moment en vidéo.
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27/02/2011

Remaniement acte ? ( je ne sais plus)

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Toujours les mêmes vieux acteurs, ça ressemble a: Au théatre ce soir, lol, remboursez !!!
Y'a pas d'article, pourquoi faire, on s'en fout de toute façon

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08/02/2011

La poisse lol !! nos ministres portent la poisse !! :-) 2 dépêches

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.8 February 2011 Last updated at 15:37 GMT

The Guardian breaking news

French PM Fillon says Mubarak lent him plane on holiday


French Prime Minister Francois Fillon has said the Egyptian president lent him and his family a plane during a holiday in Egypt at Christmas.

Hosni Mubarak, who is facing widespread anti-government protests, also paid for Mr Fillon's holiday accommodation.

Another French minister has said she used a Tunisian businessman's plane during the country's uprising.

Foreign Minister Michele Alliot-Marie, who has faced calls to resign, said she deeply regretted her actions.

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Fillon admet avoir pris un avion du gouvernement égyptien pendant ses vacances en Egypte
La Presse CanadiennePar The Associated Press | La Presse Canadienne – il y a 29 minutes

PARIS - Le Premier ministre François Fillon admet mardi avoir été "hébergé" lors de ses vacances de fin d'année 2010 en Egypte "par les autorités égyptiennes", et avoir "emprunté un avion de la flotte gouvernementale égyptienne pour se rendre d'Assouan à Abou Simbel où il a visité le temple".

La contestation est entrée dans sa troisième semaine en Egypte mardi. Les manifestants réclament le départ du président Hosni Moubarak, à la tête de l'Etat depuis près de trente ans.

François Fillon "tient à apporter les précisions suivantes, dans un souci de transparence", explique Matignon dans un communiqué.

"Le Premier ministre, invité par les autorités égyptiennes, s'est rendu en Egypte accompagné de son épouse et de ses enfants et a utilisé pour se rendre à Assouan un Falcon 7X de l'ETEC (Escadron de transport, d'entraînement et de calibration, assurant le transport du chef de l'Etat et des autorités gouvernementales, NDLR)".

Il "effectue tous ses déplacements en avion à bord d'appareils de la flotte gouvernementale, pour des raisons de sécurité et de disponibilité. S'agissant d'un déplacement privé, son billet et celui des membres de sa famille lui sont facturés, sur ses deniers personnels, au tarif établi par l'armée de l'air", précise le communiqué.

"Le Premier ministre a été hébergé lors de ce séjour par les autorités égyptiennes" et, "toujours à l'invitation des autorités égyptiennes, a emprunté un avion de la flotte gouvernementale égyptienne pour se rendre d'Assouan à Abou Simbel où il a visité le temple", poursuit Matignon. "Il a également effectué une sortie en bateau sur le Nil dans les mêmes conditions".

"Lors de ce voyage en Egypte, le Premier ministre a rencontré le président Hosni Moubarak, le jeudi 30 décembre 2010, à Assouan", rappelle Matignon. AP

sc/com/ir

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01/12/2010

Frédéric Lefebvre (encore) chahuté à l'Assemblée(video)

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10/11/2010

Sarkozy se félicite d'avoir «sauvé» le régime des retraites

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Nicolas Sarkozy n'a pas attendu vingt-quatre heures. Le chef de l'Etat a promulgué la loi sur la réforme des retraites dans la nuit de mardi à mercredi. Dans la foulée, le texte, fortement contesté, a été publié au Journal officiel après avoir été validé mardi par le Conseil constitutionnel.

Ce matin, devant le Conseil des ministres, le président a réaffirmé qu'il avait «sauvé» le régime de retraite par répartition. «Les Français sont désormais assurés qu'ils pourront compter sur leur retraite et que le niveau des pensions sera maintenu», a-t-il dit dans une déclaration rendue publique par l'Elysée. «Avec cette loi, notre régime de retraite par répartition est sauvé.» «J'ai entendu les inquiétudes qui se sont exprimées pendant les débats. Et j'ai pleinement conscience qu'il s'agit d'une réforme difficile. Mais j'ai toujours considéré que mon devoir, et le devoir du gouvernement, était de la mener à bien», a-t-il ajouté.

24/10/2010

La chanson du dimanche

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.Spéciale dédicace au gouvernement, on verra bien si tout va bien hein...


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15/08/2010

. Hadopi : le gouvernement refuse de payer la note

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Hadopi : le gouvernement refuse de payer la note


Législation - Malgré les demandes réitérées des FAI, le ministère de la Culture exclut catégoriquement de payer les frais liés à l’identification des adresses IP. Selon SFR, qui n’indique pas s’il facturera l’Etat, la question sera abordée par la FFT, qui a pourtant clairement pris position dès 2009.
La Tribune révélait le 12 août l'existence d'une lettre envoyée fin juillet au ministère de la Culture et signée par quatre FAI : France Télécom, Bouygues Télécom, Free et Numericable.
S'appuyant sur un avis du Conseil constitutionnel, ils rappelaient à l'Etat son obligation de les indemniser pour les coûts d'exploitation engendrés par l'identification des adresses IP de leurs abonnés.
Le ministère de la Culture évacue la demande des FAI
En conséquence, ils avertissaient le ministère qu'ils seraient amenés « à facturer les pouvoirs publics pour ces opérations et nous le ferons au premier jour. » Cette mise en demeure est accueillie fraichement par le gouvernement.
Interrogé par l'AFP, un porte-parole du ministère a affirmé que la position soutenue par Frédéric Mitterrand « n'a pas changé. » Une indemnisation est donc exclue. « Il y a des règles du jeu générales auxquelles ils [les FAI] ont souscrit pour l'essentiel, dès le départ, on ne va pas remettre en cause le fonctionnement général » affirmait le ministre en janvier.
La lettre signée par les principaux FAI français, à l'exception de SFR, paraît pourtant contredire l'argument du ministère évoquant un engagement de leur part sur cette question de la prise en charge des coûts d'exploitation.
L'indemnisation sera débattue à la FFT selon SFR, qui ne prend pas position
Quant au positionnement de SFR, il suscite naturellement des interrogations. Il refuse pour le moment de s'exprimer officiellement sur sa position en matière de financement. L'opérateur s'est contenté de botter en touche en indiquant à l'AFP « qu'il n'y avait "pas de discussions à date et qu'il ne savait pas qui paierait la fourniture des coordonnées par les FAI ».
Selon SFR, ce sujet « devrait être abordé dans le cadre de la Fédération française des télécoms » au sein de laquelle sont rassemblés les FAI, et dont le président est Frank Esser, soit le PDG de SFR. Une réponse qui peut surprendre puisque la FFT a déjà clairement pris position sur la question, et à plusieurs reprises.
En septembre 2009 en rappelant qu'il appartenait à « l'Etat d'en financer le dispositif ». Et plus récemment, sur Numerama, en juillet et en août. La FFT a ainsi confirmé être « dans l'attente des discussions sur les compensations financières et leurs modalités » et précisé qu'il « appartient à chaque opérateur de décider » des tarifs qu'il souhaite appliquer.
Selon La Tribune, SFR « serait prêt à payer lui-même les coûts » à la demande de son actionnaire Vivendi, supporteur déclaré de Hadopi. Si le PDG a fait état dès 2009 de son intérêt à l'égard de la loi Hadopi, selon lui « bénéfique pour SFR », il n'a pour autant jamais déclaré vouloir renoncer à une indemnisation de l'Etat.


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06/08/2010

des petits avions pour des expulsions plus discrètes

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Le ministère de l’Intérieur a de plus en plus souvent recours à des petits avions de location, pour expulser des sans-papiers, depuis des aérodromes discrets. L’association Réseau éducation sans frontières a pu en repérer une, près de Lyon. Motif : les incidents avec les passagers ou les équipages seraient trop nombreux sur les vols réguliers, surtout quand dans enfants sont expulsés. Mais ces vols coûtent cher.

26/07/2010

Pecresse : Suite Royale, Massages, Helicoptere aux frais de la princesse !

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Un voyage d'affaires à l'étranger, cela coûte toujours très cher. Celui de Valérie Pécresse en Asie en juin 2008 ne fait pas exception. Mais certaines dépenses de la ministre et de son équipage soulèvent des questions. Nous les avons soumises au ministère, sans obtenir toutes les réponses que nous souhaitions.
Dans certains pays comme la Suède, il est très facile, pour tout citoyen, de vérifier les notes de frais des ministres et autres représentants de la collectivité. En France, la transparence est encore un concept « en devenir ».
C'était en juin 2008. A une autre époque… Juste avant la crise économique, un temps où les membres du gouvernement profitaient sans souci des petits et grands privilèges de la République. Les 13 et 15 juin, la ministre Valérie Pécresse représente la France, qui préside le G8 de la Science et de la Technologie, pour une réunion prévue à Okinawa au Japon.

Crown Suite pour deux nuits : 1 564 euros

  

Les organisateurs japonais ont prévu de transporter et d'héberger les délégations, sur la base de deux personnes, dans deux chambres ordinaires : la ministre et un « accompagnant », son conseiller diplomatique François Decoster.
Problème : le 13 juin, Valérie Pécresse débarque avec deux autres « accompagnants », un officier de sécurité et le conseiller presse, Jean-Marc Zakhia. Ce dernier confirme :
« Oui, nous étions quatre. Mais c'est normal pour un tel déplacement : l'officier de sécurité en fait toujours partie et deux conseillers, ce n'est pas énorme. »
Les dépenses vont bien être plus élevées que prévu.
La délégation a d'abord besoin de deux chambres supplémentaires, pour deux nuits, dans l'hôtel Okinawa Marriott Resort&Spa : 556 euros
Sans oublier le transport aéroport/hôtel pour les « accompagnants » supplémentaires (voitures et péage) : 452 euros
La ministre, elle, prend plus d'espace que prévu en s'installant dans la Crown Suite (la plus belle) : 1 564 euros les deux nuits.
Commentaire du cabinet de Valérie Pécresse :
« C'est l'ambassade qui s'est occupée du logement et du transport. Madame Pécresse n'a jamais demandé une chambre particulière, ni avant le voyage, ni à son arrivée à l'hôtel. Elle ne s'occupe pas de ce genre de chose. »

Deux massages pour la suite 1180

Dans les faux frais (348 euros), la facture de l'hôtel fait état d'un « マッサージ ». Comprenez un « massage » et même deux -un chaque jour- au bénéfice de la chambre 1180 (la chambre occupée par Valérie Pécresse), pour un total de 12 600 yens (75 euros). Ainsi qu'un coiffeur/maquilleur pour 10 500 yens (63 euros).
Explication du cabinet :
« Effectivement, ces extras figurent bien sur la facture. Dans le cas d'une dépense personnelle, soit c'est payé directement par la ministre, soit c'est remboursé a posteriori. C'est ce qui s'est passé, elle a remboursé les deux massages et le coiffeur. »
A la question de savoir si Rue89 peut consulter le bordereau de remboursement, le cabinet répond :
« Il faut nous croire sur parole, mais je vous assure, vous vous trompez de client, ce n'est pas du tout son genre : il y a une séparation claire entre les choses. »
L'histoire ne s'arrête pas là. Comme l'a révélé le Canard Enchaîné, l'hôtel d'Okinawa a dû batailler quelques semaines pour se faire payer -via l'office du tourisme japonais-, car personne ne voulait prendre en charge le reliquat de l'escapade : 2 921 euros. Ni les Japonais, ni l'ambassade de France à Tokyo, ni l'ambassade du Japon à Paris, ni même le ministère…
Après quelques allers-retours, la douloureuse a finalement été réglée à l'automne 2008. Question : pourquoi la délégation n'avait-elle pas de quoi payer l'addition ? Simplement parce qu'elle est arrivée au Japon les poches vides.

 

Un hélicoptère russe pour visiter la baie d'Halong

La veille, Valérie Pécresse était au Vietnam. Une escale de 24 heures, les 11 et 12 juin, juste après une étape à Singapour, les 10 et 11 juin, où elle a inauguré un cargo du groupe Louis Dreyfus.
Arrivée mercredi soir à Hanoï, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche enchaîne jeudi matin trois rendez-vous protocolaires avec ses homologues, ainsi que l'indique son agenda officiel. Puis plus rien pour l'après-midi.
En fait, comme le raconte Franck Renaud dans son livre « Nos amis les diplomates », elle profite de ce temps libre pour faire une virée en hélicoptère en baie d'Halong. Départ : 12h45, pour trois-quarts d'heure de vol. Retour : 17h45.
Officiellement, il s'agit d'effectuer une visite de terrain consacrée à la biodiversité, avec un spécialiste du sujet… en milieu forestier, pas en milieu marin. Or, les arbres sont rares sur les îlots de la baie d'Halong. La délégation, raconte Franck Renaud, compte une quinzaine de personnes. Entre les deux vols en hélico, l'équipage a surtout profité de la douceur locale pour déguster un plat de fruits de mer sur une jonque.
Ce genre de plaisirs est localement facturé 554 dollars (428 euros) par personne, y compris la location de l'hélicoptère russe de type MI17. Qui a payé la facture ? Réponse du cabinet :
« Je ne vous donnerai pas le coût de ce déplacement qui a été pris en charge par le ministère. Pour l'instant, la ligne “déplacement” est annuelle. Le jour où le détail sera demandé, nous le donnerons. »


Chiche, mais « demandé » par qui ? Pas par nous, visiblement.
 http://segoleneroyal2012.over-blog.fr/article-suite-royale-massages-voyage-ordinaire-aux-frais-de-la-valerie-pecresse-ump-54253864.html
 
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Si t'as 6500e tu peux Etre sur les listes ump ... "cracher au bassinet"

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. C'était juste avant la clôture des listes pour les régionales de mars 2010. Les candidats de la liste UMP en Ile-de-France conduite par Valérie Pécresse sont invités à faire la photo de famille traditionnelle… et à apporter un chèque de 6 500 euros. Pour financer la campagne électorale.

Curieusement, le chèque n'est pas à libeller à l'AFCVP, l'Association pour le financement de la campagne de Valérie Pécresse, comme y sont invités les militants-donateurs. Non, il faut faire un chèque au nom de "Changer, c'est possible", le miniparti fondé fin 2008 par la ministre de la recherche.
"On a découvert qu'il fallait financer le parti personnel de Valérie Pécresse", peste un poids lourd de l'UMP, qui dénonce une "taxe sur l'investiture". "On a tous fait un chèque, sinon on ne pouvait pas être candidat", raconte un jeune candidat, qui parle de "matraquage".

05/07/2010

Rama Yade pourrait quitter le gouvernement de Sarkozy en octobre prochain

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Alain Joyandet et Christian Blanc démissionnaires, c'est la secrétaire d'Etat au sport, Rama Yade, la franco-sénégalaise, Rama Yade, qui se retrouve sur la corde raide. Mais mercredi dernier, devant les députés UMP, le président n'a pas fait mystère de son intention de procéder à une grande lessive gouvernementale, «en octobre». La menace est donc bien réelle: «Certains comportements ministériels ne m'ont pas plu. J'en tirerai les conséquences sévèrement au moment qu'on aura choisi avec le premier ministre.» Et Nicolas Sarkozy énumère les motifs de son courroux: «Avions, cigares, critiques de la nature des hôtels.» Les deux ministres concernés par les avions (Joyandet) et cigares (Blanc) ont démissionné.


Reste "la nature des hôtels" qui concerne Rama Yade. Ce dimanche, plusieurs voix se sont élevées en France pour demander à ce que Yade soit la suivante. Rama Yade va-t-elle devoir donc quitter le gouvernement à l’automne ? "Je ne peux ni confirmer, ni infirmer, ce que je n’ai pas entendu. Je n’étais pas à la réunion entre le Président et les députés, répond-elle. Je fais mon travail, avec sérénité. Je ne participerai pas à la République du potin. "

La secrétaire d’État aux Sports avait été chahutée après sa sortie sur "l’arrogance des Bleus" avant le Mondial : "il ne faut pas avoir raison trop tôt", commente-elle. Yade avait commenté la chereté de l'hôtel des bleus lors de la Coupe du monde. Quelques jours plus tard, elle sera epinglé pour avoir dormi dans un hôtel qui coûtait encore plus cher.

source:http://www.afriqueredaction.com/
 
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24/06/2010

Les services du Premier ministre sous la tutelle maçonnique

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Les services du Premier ministre sous la tutelle maçonnique


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Patrick Mille, le Directeur des Services Administratifs et Financiers de Matignon est le grand régulateur des dépenses de Matignon et de ses secrétaires d'Etat. S'il constate un dérapage il doit, théoriquement, en informer le chef de Cabinet du premier ministre et/ou le chef de cabinet du ministre incriminé.

Mais voilà, Patrick Mille est membre de la Grande Loge Nationale de France, et réagit en fonction de la tête du client.

Ainsi, lorsque l'ancien chef de cabinet de Christian Blanc avait commandé pour 12.000 euros de cigares, il aurait dû tout de suite alerter qui de droit. Mais Guillaume Jublot, l'ex chef de cabinet de M. Blanc et Patrick Mille sont "frères", comprenez membres tous deux de la GLNF. Aussi cela permet quelques passe-droit eu détriment du devoir et de l'éthique.

lesindiscrets
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01/06/2010

Fadela Amara héberge des proches dans son logement de fonction

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"Personne n'habite à plein temps dans cet appartement de fonction", mais la secrétaire d'Etat à la Ville "y héberge parfois sa famille", indiquent ses services, confirmant une information du Canard Enchaîné.

18/05/2010

Deux logements de fonction pour le ministre Christian Estrosi dont l'un pour sa fille

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Le ministre de l'Industrie, Christian Estrosi, bénéficie de deux logements de fonction à Paris, dont l'un est occupé par sa fille, affirme l'hebdomadaire Le Canard Enchaîné à paraître mercredi.

27/04/2010

Paroles,Paroles de Nicolas Sarkozy(vidéo)

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17/04/2010

La vérité sur...le bilan de Fadela Amara

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« dynamique Espoir banlieues » de la secrétaire d'Etat a été rebaptisée par des élus locaux « plan désespoir banlieues ». A juste titre ?


Les critiques pleuvent sur Fadela Amara. A droite comme à gauche. Procès en incompétence, manque d'organisation, absence de résultats... Mais la secrétaire d'Etat chargée de la Politique de la ville, qui tire toute sa légitimité de l'Elysée, n'en a cure. D'autant plus que dans le dernier baromètre Ipsos elle cartonne au Top-5 des ministres les plus populaires. Elle continue donc de s'exprimer sur tout sujet, avec son style résolument provoquant. Dénonçant la campagne « puante » contre Ali Soumaré, affirmant qu'« il faut «nettoyer au Kärcher» cette violence qui tue nos enfants dans les cités » ... Bref, Fadela Amara reste droite dans ses bottines. « Je suis dans la même posture que le jour où le président de la République est venu me chercher, soutient-elle. Et Nicolas Sarkozy ne m'a jamais appelée pour me dire son insatisfaction. » Sa satisfaction non plus !

Or son bilan a de quoi décevoir. Même si le travail est ardu. Selon le rapport 2009 de l'Observatoire national des zones urbaines sensibles, la pauvreté en banlieue augmente, le chômage aussi : 16,9 % de demandeurs d'emploi en 2008, deux fois plus qu'au niveau national, 41,7 % pour les hommes de 15 à 24 ans... La crise risque de noircir le tableau, et les mesures de Fadela Amara, lancées en février 2008 sous le nom de « dynamique Espoir banlieues », n'y changeront pas grand-chose car, sur le terrain, le constat est sans appel : ses idées sont devenues des gadgets et l'urgence se compte en années. Les élus parlent désormais de « plan désespoir banlieues ».

lire l'article complet sur:http://www.challenges.fr/magazine/coulisses/0203.029721/la_verite_surle_bilan_de_fadela_amara.htmlLa







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03/04/2010

Alain Joyandet récidive dans le gaspillage des deniers publics

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Décidément, le ministre de la coopération et de la francophonie se creuse les méninges pour gaspiller l’argent des contribuables. Exemple avec Francomot et ses propositions... surréalistes.


Déjà critiqué de toute part pour ses frais de déplacement qui, pour un aller retour en Martinique, permettraient de payer une centaine de mois de SMIC, Alain Joyandet en rajoute une couche dans le gaspillage de l’argent des contribuables.

En janvier 2010, sous son égide, le ministère de la coopération et de la francophonie lance un concours « francomot » pour trouver des équivalents « bien français » à des termes anglophones : "chat", "buzz", "tuning", "newsletter" et "talk". C’est hier, lors d’une réception sur fonds publics évidemment, on est toujours plus généreux avec l’argent des autres, que le ministre a dévoilé les propositions retenues.