A LA UNE
11/03/2012
Devedjian la commère
lecanardacharné
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18/03/2011
Cible principale de l'ump dans les Hauts de Seine : Patrick Devedjian.
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Dans les Hauts-de-Seine, la droite se déchire
Après avoir été écarté de la présidence de l’UMP 92 en novembre dernier et dénoncé le « rôle obscur » joué par l’Elysée dans cette humiliante défaite, Devedjian n’entend plus rien lâcher. Le président l’a, cette fois, assuré, dit-il, de sa neutralité. Mais au conseil général, il est isolé, et les prétendants à son fauteuil sont en embuscade, nombreux et déterminés. Les acteurs
Isabelle Balkany. La première adjointe au maire de Levallois (son mari, Patrick), amie du chef de l’Etat et « marraine politique » de son fils Jean, est l’adversaire la plus résolue de Devedjian. « Il continue à me castagner. Je m’en fiche, je me suis mise au yoga politique. Je reste zen! » dit-elle en sirotant un diabolo menthe dans son canton de Levallois-Centre.
Jean Sarkozy. Conseiller général de Neuilly, président du groupe de la majorité UMP-Nouveau Centre au département, le fils du président s’est fait discret durant la campagne cantonale, se consacrant à des partiels à la fac. Mais il fera tout pour faire échouer Devedjian, soit en poussant le conseiller général UMP de Boulogne, Thierry Solère, soit le maire de Villeneuve-la-Garenne, Alain-Bernard Boulanger. Voire Isabelle Balkany si elle est candidate. Mais elle en aurait été dissuadée par l’Elysée.
Charles Pasqua. Acteur discret mais influent de l’UMP dans le département, il n’a pas supporté la remise en cause par Devedjian du pôle universitaire de Vinci, son « bébé » lorsqu’il présidait le conseil général des Hauts-de-Seine. Il pèsera aussi sur les prochaines sénatoriales, à l’automne. A 83 ans, lui-même ne se représente pas, mais il aidera Isabelle Balkany qui ambitionne de mener la liste UMP.
Les enjeux
Neuilly. Le maire divers droite de Neuilly, Jean-Christophe Fromentin, non content d’avoir soufflé la mairie à l’UMP en 2008, se présente en grand favori contre la sortante UMP, Marie-Cécile Ménard. Jean Sarkozy, l’autre conseiller général de Neuilly, n’est pas renouvelable cette fois-ci. Fromentin, qui n’a probablement pas terminé ses emplettes en sarkozie, pourrait s’intéresser aux législatives de 2012.
Vanves. Le maire Nouveau Centre, Bernard Gauducheau, tente de reprendre le canton à la gauche. Sa victoire renforcerait l’aile centriste du 92, menée par André Santini.
Asnières. L’UMP fait une croix sur le canton, la ville étant passée au PS.
Antony. Patrick Devedjian y a été élu avec 384 voix d’avance seulement il y a sept ans. De sa réélection dépend son avenir au conseil général.
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08/02/2011
Jean Sarkozy se moque de Devedjian en plusieurs langues !:
Devedjian – Sarkozy : La guerre ouverte


20/11/2010
Devedjian mordu par les chiens de Sarkozy
Je crains que ce soit une déclaration qui mette en marche la machine à perdre. C’est très violent et cela dessert l’UMP. Moi je suis l’élu d’une des rares circonscriptions (La Garenne-Colombes/Courbevoie) qui a voté pour Devedjian. Je suis bien placé pour vous dire qu’il n’y a eu aucune pression. La preuve? J’étais en tant que maire de La Garenne-Colombes pour Jean-Jacques Guillet et le député de la circonscription (ndlr, Jacques Kossowski) pour Patrick Devedjian.
Non. Tout ça est faux. Je suis même étonné par le manque de lucidité de Patrick (Devedjian). En 2008, il a déjà été réélu de justesse face à Eric Berdoati, jeune maire de Saint-Cloud, très peu connu à l’époque, dans les Hauts-de-Seine. C’était un premier coup de semonce que Patrick n’a pas pris en compte! Croire que l’Elysée a manœuvré contre lui, c’est se tromper! Ce résultat incontestable reflète l’expression des militants des Hauts-de-Seine. Avec ses déclarations excessives et maladroites, Patrick Devedjian est en train de décevoir ceux qui ont voté pour lui. Les militants ont horreur des divisions.
Ces histoires du temps de Charles Pasqua commencent à dater. Tout ça est loin. J’ai été vice-président du conseil général de 2004 à 2009 sous Nicolas Sarkozy et sous Patrick Devedjian. Aujourd’hui, ce qui nous intéresse c’est l’avenir. Que Patrick Devedjian regarde devant…
Non. Je l’espère. En créant un mini-scandale, Patrick croit qu’il va se mettre à l’abri pour sauver son fauteuil de président. Il croit créer une ligne Maginot mais il oublie que le sujet n’est pas là. Ce qu’il fait est contre-productif.
La légitimité du président du conseil général est complexe. Elle repose d’abord sur celle des conseillers généraux de la majorité. Devedjian, qui est objectivement l’un des hommes politiques les plus brillants de la droite française, a oublié quelques fondamentaux. Si l’esprit de division perdure, cela aura une influence des élus de la majorité l’an prochain au moment du renouvellement du président. Devedjian a l’obligation de retrouver ses esprits rapidement sinon il va se mettre dans une situation irrémédiable.
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Devedjian : du toutou à la niche ( ça chouine)
L'ex-ministre de la Relance dénonce vendredi une «campagne orchestrée» contre lui par Nicolas Sarkozy, destinée à lui faire perdre la présidence de la fédération UMP des Hauts-de-Seine.

Patrick Devedjian raconte ensuite par le menu les pressions exercées, selon lui, par l'Elysée pour favoriser l'élection de son adversaire Jean-Jacques Guillet à la présidence de la fédération UMP des Hauts-de-Seine. «Quelque temps après, j'ai appris qu'Olivier Biancarelli, attaché parlementaire de l'Elysée, et Eric Cesari, directeur général de l'UMP, téléphonaient aux principaux responsables politiques des Hauts-de-Seine pour leur dire de voter pour Jean-Jacques Guillet qui venait, oh surprise!, de se déclarer candidat contre moi», raconte Devedjian.
19/11/2010
Ca balance pas mal à Neuilly, ca balance pas mal
Politiques 19/11/2010 à 12h48
Devedjian accuse Sazkozy et son fils de l'avoir évincé de l'UMP des Hauts-de-Seine
L'ancien ministre de la Relance dit avoir été sanctionné par le Président qui n'aurait pas apprécié «que cinq candidats se présentent contre son fils Jean aux élections internes de l’UMP à Neuilly».
Hauts-de Seine, ton univers impitoyable! Furieux d’avoir perdu les commandes de la fédération UMP du département, Patrick Devedjian règle ses compte avec la famille Sarkozy, dans une interview au Monde.
L’ancien ministre de la Relance, viré du gouvernement lors du remaniement de dimanche, accuse l’Elysée d’avoir multiplié les pressions sur les élus des Hauts-de-Seine, fief de Sarkozy, pour qu’il ne soit pas réélu à la tête de la fédération et charge aussi son rival, Jean Sarkozy.
Président du conseil général des Hauts-de-Seine, Devedjian, a été battu lundi soir par le député-maire de Chaville Jean-Jacques Guillet lors des élections internes (319 voix contre 180 voix). Selon sa version, il a été «convoqué», le 15 octobre, «en urgence par Nicolas Sarkozy», qui «s’est ému que cinq candidats se présentent contre son fils Jean aux élections internes de l’UMP à Neuilly».
Le président de la République «m’en a rendu responsable. J’ai dit que c’était faux. Il ne m’a pas cru et, très mécontent, m’a dit que j’aurais bientôt "une surprise"», raconte-t-il.
«Campagne orchestrée»
La sanction ne tarde pas à tomber: «quelque temps après, j’ai appris qu’Olivier Biancarelli, attaché parlementaire de l’Elysée, et Eric Cesari, directeur général de l’UMP, téléphonaient aux principaux responsables politiques des Hauts-de-Seine pour leur dire de voter pour Jean-Jacques Guillet qui venait, oh surprise!, de se déclarer candidat contre moi à la présidence de la fédération», accuse Devedjian.
Evoquant une «campagne orchestrée», il vise notamment le couple d’élus de Levallois et intimes du président, Patrick et Isabelle Balkany, le secrétaire départemental de l’UMP, Philippe Pémezec, qui «n’a cessé de violer son devoir de neutralité», ainsi qu’un élu proche de Jean Sarkozy, Thierry Solère.
Le fils du chef de l’Etat n’est pas épargné. «Lionnel Rainfray, élu UMP de Colombes et délégué de la première circonscription m’a rapporté qu’il avait fait directement l’objet de pressions de la part de Jean Sarkozy. Celui-ci l’aurait menacé de "briser sa carrière politique" s’il votait pour moi», assure Patrick Devedjian. Qui ne se fait plus guère d’illusions pour les cantonales de mars 2011, lors desquelles son poste à la tête du département sera renouvelable: «Je ne doute pas que pour me faire battre à la présidence du conseil général, ils utiliseront la même méthode qu’aujourd’hui.»
(Source AFP)
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15/11/2010
Nous ne te regretterons pas ! Poubelle !
Ils ont quitté le gouvernement...
Vous n'allez pas partir sans en prendre un petit dernier pour la route !
Allez ...à bientôt !


26/02/2010
Sortez les casseroles !
Quarante ans après, les anciens d'Occident revisitent leur passé
LE MONDE | 26.02.10 | 10h49 • Mis à jour le 26.02.10 | 10h50
Cet article est paru dans Le Monde du 13 février 2005.
Sur les photos de l'époque, c'est leur jeunesse qui frappe, et ce parfum d'années 1960 : les lunettes noires et la gabardine claire de Patrick Devedjian, le sourire juvénile et carnassier d'Alain Madelin. A l'arrière-plan, les comparses anonymes. Le document orne la couverture de Génération Occident (Seuil), livre enquête sur l'histoire et les membres de ce mouvement d'extrême droite, créé en 1964 et dissous en 1968.
Aujourd'hui, sans rien renier de leur passé, ils cherchent pourtant à le minimiser. " C'était un moment de notre vie ", explique Alain Robert, un proche du député (UMP) Robert Pandraud. " J'étais jeune ", plaide le député (UMP) Hervé Novelli. " Nous étions jeunes et libres, se remémore le sénateur (UMP) Gérard Longuet. Il s'agissait là de rites initiatiques de jeunes gens, un folklore d'aspect paramilitaire. " D'autres, comme le député (UMP) Alain Madelin, préfèrent ne plus évoquer cette période. " Je n'ai pas encore lu ce livre, j'ai d'autres activités ", lâche- t-il. Lassitude de devoir se justifier ? " Dès qu'on parle de ça, on assemble des ragots et des historiettes invérifiables. Notre histoire reste à écrire ", explique un ancien membre du parti d'extrême droite.
Mais le mythe lui est installé. Alors que l'extrême gauche affiche ses élans révolutionnaires et sa générosité, les militants d'Occident sont du côté des manches de pioche et des discours racistes. Infréquentables. " Pourtant, on a un héritage commun. Je trouve Jean-Christophe Cambadélis très sympa, dit le député (UMP) de Paris Claude Goasguen, ancien président de la Corpo de droit d'Assas, proche d'Occident. Si je l'avais trouvé sur ma route, peut-être serais-je devenu trotskiste. "
Il y eut donc Occident et la Corpo de droit, mais aussi le GUD (Groupe union droit) du député (UMP) Bernard Carayon. Ou encore le GAJ (Groupe action jeunesse), dont se réclamait l'actuel secrétaire d'Etat à l'aménagement du territoire, Frédéric de Saint-Sernin. Autant de structures étroitement liées, ou issues les unes des autres. Un vrai creuset de l'extrême droite, où l'on relève également les noms de François d'Orcival, l'un des responsables de l'hebdomadaire Valeurs actuelles, ou d'Anne Méaux, ancienne attachée de presse de Valéry Giscard d'Estaing et patronne d'Image 7, l'agence de communication du gotha de la politique et des affaires.
"C'est fantastique, s'énerve Alain Robert, inspirateur d'Occident, puis du GUD. Quand on parle de l'extrême gauche, tout est sympa. Mais dès qu'on parle de l'extrême droite, c'est violence et barres de fer. Nous n'aurions été que des adorateurs de Mussolini et de Goebbels, alors que les gauchistes vénéraient Beria !"
L'affaire est moins manichéenne qu'il n'y paraît. Occident, c'est avant tout l'alliance d'anticommunistes primaires et de colonialistes forcenés, sur fond de défoulement physique. Sous l'influence de Pierre Sidos, un ancien du mouvement franciste, maître à penser de la mouvance nationaliste, financé par Hubert Lambert, le magnat du béton qui allait rendre riche Jean-Marie Le Pen quelques années plus tard, Occident naît en 1964.
"TUEZ LES COMMUNISTES"
Le programme prévoit de bannir le " suffrage universel ", mais aussi de combattre " les ennemis de l'intérieur ", à savoir " les puissances financières ", la franc-maçonnerie ou les " métèques ". On y tient des conversations racistes, dans les arrière-salles des cafés, avant d'aller " taper sur le bolchevique ". L'actuel ministre délégué à l'industrie, Patrick Devedjian, recruté en 1963 à 17 ans, y côtoie M. Longuet et M. Madelin, surnommé " Mado ". Leurs slogans ne font pas dans la nuance : " Tuez tous les communistes où ils se trouvent ! " " Si on ne portait pas une parka avec 253 badges de Mao, on se faisait agresser phy- siquement, assure William Abitbol, ancien député européen (1999- 2004) proche de Charles Pasqua. On s'est beaucoup fritté, j'appelle ça mes années de gymnastique. "
Occident trouve sa triste apogée avec le raid sur le campus de la faculté de Rouen, en janvier 1967. Une dizaine de jeunes gauchistes y sont sérieusement blessés. Une affaire qui vaudra la prison, puis une condamnation judiciaire, à M. Devedjian, M. Longuet et M. Madelin. Progressivement, ces trois-là s'éloignent d'Occident, qui est dissous en 1968. Ils laisseront derrière eux la droite extrême, pour se fondre, pour les uns, dans un libéralisme mâtiné de giscardisme, pour les autres, dans un étatisme à la mode gaulliste.
Quatre années d'une folle errance politique, avec peu de regret, semble-t-il. Si ce n'est celui de s'être égaré. " Je me suis totalement trompé et je l'assume , déclare M. Devedjian, mais je n'ai cautionné aucun crime. " A les en croire, nulle nostalgie, non plus. " J'étais affecté par mes problèmes personnels, explique M. Goasguen, mais je n'ai aucune honte, je n'ai rien fait de délictueux. J'ai seulement perdu beaucoup de temps. " Une vision partagée par M. Carayon, lui qui brûla des drapeaux de l'URSS sur les Champs-Elysées et fracassa la vitrine d'Aeroflot, en 1977, à l'occasion de la venue de Leonid Brejnev à Paris : " Nous n'avons pas été happés par la dérive terroriste, explique le député UMP. Et puis la violence était partagée. " " Quand j'ai reçu un coup, je l'ai rendu, argumente M. Longuet. J'assume avoir été d'extrême droite. On s'est simplement trompés sur le modèle colonial, qui ne pouvait perdurer. "
Aujourd'hui, ces hommes se croisent, souvent, aux détours d'itinéraires politiques contrastés. MM. Devedjian et de Saint-Sernin sont au gouvernement, M. Schuller prépare son procès dans l'affaire des HLM des Hauts-de-Seine, M. Goasguen brigue la Mairie de Paris, tandis que M. Longuet siège au Sénat. Evoquent-ils leurs souvenirs d'étudiants ? " J'en parle parfois avec Guillet, Madelin ou Devedjian, dit M. Carayon, ils ont vécu des années rudes. " Il arrive à M. Devedjian d'aborder le passé, avec M. Longuet. " On en parle parfois. Pour se moquer de nous ", explique le ministre délégué à l'industrie. Pas sûr que M. Longuet ait pourtant le coeur à se moquer de lui-même. Il regrette surtout que l'on remue ces souvenirs. " Nous avons passé trois ans à l'extrême droite, et trente ans dans la famille libérale. Si j'étais né en 1945, on m'aurait reproché d'avoir soutenu le maréchal Pétain... "
Article paru dans l'édition du 27.02.10
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14/01/2010
Devedjian chahuté par un avocat blogeur !
(Pour le plaisir nous parsemerons cet artiucle de nos meilleures videos sur St Patoch dit Devedjian cependant pensez aussi à consulter notre large dossier Devedjian ici :
http://torapamavoa.blogspot.com/search?q=devedjian
En effet sur son blog on peut lire à propos de l'entretien de Patrick Devedjian avec Sophie Landrin dans Le Monde, qui se permet "une attaque frontale et choquante contre le Conseil constitutionnel dont il met en cause non seulement la décision récente mais plus généralement le mode de fonctionnement, d'investigation et de délibération" (nouvelobs.com, Le Figaro, Le Post). :
"Quelle mouche a donc piqué notre ministre de la Relance pour qu'aussi brutalement et ostensiblement il amplifie une charge peu commune en cherchant à l'évidence à "se payer" le Conseil constitutionnel, son président et sa jurisprudence si peu éclairée ! Quel but veut-il atteindre, quelle promotion rechercher, quels éloges recueillir ?
Je n'ose pas penser qu'une violation aussi flagrante de la réserve républicaine et de la retenue ministérielle puisse lui avoir été inspirée par le souci de se faire à nouveau valoir auprès du président de la République, de "remonter un courant" que ces derniers temps apparemment il aurait descendu. Comme une manière de reconquête politique grâce à une outrance dont il espère qu'on lui saurait gré."
"si le Conseil se voit affecter des personnalités aussi sereines et impartiales que Patrick Devedjian, c'en sera fini de ce remarquable organe de contrôle et d'équilibre qui déplaît naturellement aux sectaires des deux camps"
.
Devedjian Karl zero Torapamavoa censuré de myspace !
envoyé par torapamavoa. - L'info video en direct.
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05/12/2009
Devedjian et Madelin en racailles vintage, si si
Vu sur BELLACIAO
Buzz autour de l’été varois agité de Devedjian et Madelin en 1965.
samedi 5 décembre 2009 (00h52)
En 1965, le ministre de la Relance Patrick Devedjian avait 21 ans. Alain Madelin avait 19 ans. Deux fachos. Deux petites frappes.
Lisez cet article :
Buzz autour de l’été varois agité de Devedjian et Madelin en 1965.
Un article de presse de 1965 relatant les frasques de Patrick Devedjian et Alain Madelin dans le Var fait le tour des sites Web depuis quelques jours.
C’est le nouveau buzz sur l’Internet. Depuis le mardi, plusieurs sites (cuverville.org, bellaciao.org, prs12.com, etoile-rouge.fr notamment) diffusent une (très) vieille coupure de presse du journal « Le Petit Varois ». Plus précisément de la chronique judiciaire.
Daté du 11 novembre 1965, l’article raconte les tribulations de deux étudiants parisiens en vacances à La Croix-Valmer dans le Var. Les deux jeunes hommes en question? Il s’agit de Patrick Devedjian, actuel ministre de la Relance et d’Alain Madelin, ancien député et ministre de Jacques Chirac.
Les deux compères s’étaient faits remarquer durant ce fameux été 1965 pour une affaire de syphonnage et plusieurs vols. Ils avaient même été condamnés par le tribunal correctionnel de Draguignan à un an de prison avec sursis et trois ans de mise à l’épreuve. Si les faits ont été amnistiés, cette histoire croustillante qui date quand même de plus de quarante ans fait le tour des sites Web, coupure de presse à l’appui.
Celle-ci raconte avec force détails leurs mésaventures sous le titre « Deux jeunes dévoyés en vacances à La Croix Valmer avaient essoufflé la police... » Énigmatique. Mais qu’avaient-ils donc pu faire? Le journaliste de l’époque écrit à propos de l’audience correctionnelle : « Deux jeunes gens ont tenu la vedette. Il s’agit des nommés Devedjian Patrick et Madelin Alain (...), à qui le soleil à quelque peu tourné la tête. »
Puis il énumère les faits : « Dans la nuit du 5 au 6 août dernier, M.Voli, maire de la Croix-Valmer surprenait deux individus qui tentaient de lui dérober de l’essence dans son véhicule. » (...) A sa vue, les deux voleurs prenaient la fuite abandonnant un véhicule Simca 1000. Une embuscade était tendue par la police qui avait été alertée. Quarante-cinq minutes plus tard, on tombait sur les deux hommes qui tentaient de mettre en marche un véhicule. Si Madelin parvenait à être appréhendé, Devedjian par contre échappait aux poursuites malgré une tentative désespérée de M. Voli. Mais comme tout a une fin Il était récupéré le lendemain matin dans un état lamentable, les pieds ensanglantés, les vêtements déchirés », raconte le journaliste (un certain C.P.) dans son article.
Plus loin, il précisera quand même que la perquisition affectuée sur le bateau de Patrick Devedjian alors amarré à Cavalaire fut très fructueuse.On y retrouva «des pièces de voiture, un pistolet 6,35 garni de cinq cartouches et des pièces d’identité»...
Aujourd’hui, la prescription l’emporte pour ces faits datant d’il y a plus de quarante ans.
« C’est une connerie de jeune voilà tout, commente Thierry Mariani candidat UMP aux régionales en PACA. Qui n’a jamais volé un paquet de bonbons? »
Une « connerie » qui n’a d’ailleurs pas empêché Patrick Devedjian et Alain Madelin de réaliser une brillante carrière politique. Mais jamais ils n’ont raconté leurs péripéties varoises. Même pas à leurs collaborateurs. « Je n’étais pas au courant, explique Me Jean-Marc Fedida, l’avocat d’Alain Madelin. Mais c’est une très vieille histoire. Je n’étais même pas encore son conseil. D’ailleurs je n’étais pas encore né... »
Même son de cloche du côté de Marie-Luce Skraburski, attachée de presse de l’ancien maire de Redon pendant plus de dix ans. « Il ne m’en a jamais parlé. D’ailleurs je l’imagine très mal avec une paille dans la bouche en train de siphonner... »
Au cabinet de Patrick Devedjian, la surprise est également totale : « On n’avait jamais entendu parler de cette histoire. On lui a reproché beaucoup de choses mais là... »
L’une de ses anciennes secrétaires particulières a même beaucoup ri en apprenant la nouvelle. « C’est complètement absurde. Jamais, il n’aurait fait ça ! »
De son côté, Alain Madelin n’a pas souhaité réagir.
http://www.nicematin.com/ra/cotedazur/225578/toutes-editions-buzz-autour-de-l-ete-varois-agite-de-devedjian-et-madelin-en-1965
De : Nicematin.com
samedi 5 décembre 2009
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01/07/2009
Sauvons la Résidence Universitaire Jean Zay à Antony http://sauvonsjeanzay.blogspot.com/
La RUA, avec ses 2500 chambres, représente 16% du logement social étudiant sur l'Ile de France. Nous nous opposons à la destruction annoncée comme "première étape" du bâtiment C, avec ses 550 chambres et son école maternelle de 36 enfants. Selon des rapports d'experts, le bâtiment est dans un bon état. Venez nous soutenir dans notre lutte, car elle concerne tous les étudiants, tous les amis, parents ou futurs parents d'étudiants, et tous ceux qui pensent que le bien commun doit rester commun.
http://sauvonsjeanzay.blogspot.com/
*ecrire ton article ici (supprime cette ligne)*
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15/03/2009
Conseils juridiques à ceux qui ont traités MOdame Morano de P.... !
Excusez vous !
**********ecrire ton article ici (supprime cette ligne)**********
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05/03/2009
Le fils de Devedjian nommé.......
ET ....est sous l'autorité de son chèr papa ministre de la relance.
Possible numéro 2, derrière Gilles Michel (membre du directoire de Peugeot Citroën ), Thomas Devedjian, reintegrerait donc la fonction publique où il avait déjà fait un tour entre 1999 et 2006, à Bercy, croisant son père, ministre de l’Industrie de 2004 à 2005, alors qu’il était conseiller technique auprès de Nicolas Sarkozy.
Chez Eurazeo, il assurait des rendements de 15%Pour participer à la gestion du Fonds de 20 milliards constitué pour relancer l’industrie française, le fils Devedjian dispose de quelques années d’expérience chez Eurazeo, société de private equity qui fixe des objectifs de rendement annuels de 15%. Voilà qui est digne des objectifs de rénovation du capitalisme chers au gouvernement ! Autre atout : Eurazeo étant gestionnaire de plus de 80% du capital non coté d’Elis et d’Europcar ainsi que de 13,2% de Fraikin, tous trois spécialisés dans la location de véhicule, Thomas Devedjian ne sera pas dépaysé au FSI qui, après avoir pris 2,43% de participation dans l’équipementier automobile Valeo , prévoit déjà de soutenir la filière dans son ensemble. Eurazeo ne confirme ni n'infirme cette information qu'elle qualifie de « rumeur ».Prenant la forme d’une structure privée détenue à 49% par l’Etat et à 51% par la Caisse des dépôts et consignations, le fonds a déjà été dénoncé par l’union syndicale CGT Finances comme une menace à l’indépendance de la CDC dans ses placements et une augmentation des emprunts publics qui pourrait dégrader la note de la dette d’Etat.« C’est une petite affaire Pérol », juge un responsable de l’UMP interrogé par le Canard enchaîné. «Petite»? Pas forcément : si dans le cas Pérol, l’entreprise est privée (mais sous subvention), Thomas Devedjian travaillera lui pour une entreprise financée par l’Etat et un organisme public. Mais comment en vouloir à Patrick Devedjian de prendre soin de sa famille en temps de crise ? Reste à garder les yeux ouverts : il a encore trois enfants à caser.
Mise à jour mercredi 4 mars à 18h15Ayant répondu aux sollicitations de Marianne2.fr, les services du ministère de la mise en œuvre du plan de relance ont confirmé l'information de la nomination de Thomas Devedjian mais ont tenu à préciser que Patrick Devedjian ne disposait « d'aucune tutelle » sur le FSI et que ce dernier avait appris la nouvelle par un coup de téléphone de son fils.« Thomas Devedjian n'a été nommé que du fait de son expérience et de ses compétences », a-t-on insisté avant de s'étonner du « raccourci un peu rapide » fait entre cette nomination et celle de François Péro
source: marianne
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04/02/2009
Le site du Mini Stere des relents ! par St Patoch !
Le site du Mini Stere des relents :
http://www.relance.gouv.fr/index.html
Une France criblée de Balles..
sympa..


28/01/2009
Devedjian : polluer plus pour relancer plus

Avant de discuter environnement ce mardi, le Parlement a adopté un projet de loi qui assouplit, au nom de la relance, la réglementation des entreprises polluantes.
Le gouvernement n’a plus qu’une obsession : la relance.
Par tous les moyens. Y compris les moins avouables : le projet de loi adopté au Sénat le 23 janvier et présenté par Patrick Devedjian, le nouvel avatar sarkozyste de la relance, comporte une réforme pas très grenelle qui fait sauter au plafond les défenseurs de l’environnement : celle des installations classées, c’est-à-dire les entreprises polluantes ou dangereuses.
ICPE. Ce sigle signifie Installations Classées pour la Protection de l’Environnement. En clair : 600 000 entreprises, industrielles ou agricoles, qui présentent un risque ou polluent.
En France, une loi de 1976 règlemente tout ce petit monde, qui définit plusieurs contraintes administratives – des régimes - pour les contrôler.
Il en existe deux principaux : le régime de déclaration (moins contraignant, un simple dossier administratif suffit), et le régime d’autorisation, qui concerne 54000 d’entre elles. On y trouve tous ces fleurons industriels qui menacent de nous péter à la figure, notamment les Seveso, la fameuse directive européenne imposant aux États d’identifier et de prévenir les sites à risques, mise en place en 1982 après la catastrophe du même nom.
Passage en douce
Or, pour le gouvernement et les services du ministère de l’Écologie, qui ont concocté cette réforme, ce régime d’autorisation est trop contraignant pour ces petites entreprises qui connaissent la crise : le projet de loi prévoit donc la création d’un troisième régime : l’autorisation simplifiée.
Il comprendrait les 20% de la tranche basse des IPCE soumis à autorisation. Avec un argument-massue : « réduire la concurrence » avec nos voisins, moins tatillons… C’est exactement ce que déplore Marc Sénant, chargé de mission à France-Nature-Environnement (FNE) : « C’est un recul énorme. La France fait marche arrière, car elle s’est aperçue que la réglementation européenne était moins contraignante. » « Dans le cadre des RGPP (Révision Générale des Politiques Publiques, ndlr), cela nous permettra de dégager des moyens pour les contrôles prioritaires, rétorque Laurent Michel, le Directeur de la Prévention de la Pollution et des Risques (DPPR) au ministère de l’Écologie. Ce n’est en rien un recul. La procédure d’autorisation n’était pas adaptée pour les IPCE de la tranche basse de ce régime. »
D’autre part, 200 inspecteurs supplémentaires vont garnir prochainement les rangs, et se concentrer sur leur véritable mission, selon Laurent Michel : « Des contrôles plus ciblés, plus efficaces, et non pas passer notre temps à contrôler une fabrique de cercueils ».
Le hic, c’est que les contrôles sont bien trop peu nombreux selon Marc Sénant : « 1600 inspecteurs en tout et pour tout, soit un contrôle tous les ans pour les sites Seveso, un tous les trois ans pour les autres sites soumis à autorisation, et un tous les dix ans pour le reste ! En plus, on sait comment ça se passe : les entreprises sont prévenues 48 heures à l’avance. Suffisant pour s’organiser. »
« Éviter le risque, accepter la pollution »
Autre dérive à craindre : la privatisation rampante des contrôles. D’ores et déjà, ce sont des organismes agrées privés qui les effectuent dans les ICPE soumis à déclaration. Et qui les payent ? Bingo : les entreprises. « Ce lien financier pose problème », déplore Marc Sénant. Il paraît évident que les organismes de contrôles privés auront tendance à ne pas mordre la main qui les nourrit… « Ça se fait partout, par exemple pour les ascenseurs, rétorque Laurent Michel. Et ces contrôles s’ajoutent à ceux du public : c’est donc un renforcement. » Mais comme ceux du public sont trop peu nombreux…. Le problème se pose d’autant plus que Laurent Michel concède que « la réflexion est en cours » quant à la possibilité d’étendre ces contrôles privés aux IPCE soumises au futur régime d’autorisation simplifiée.
Pour Marc Sénant, le problème est plus large : « Suite à AZF (en septembre 2001, ndlr), les citoyens sont passés de l’ignorance du sujet à son refus systématique. L’administration l’a bien compris. On va ainsi privilégier la maîtrise du risque au détriment des pollutions diffuses, chroniques, médiatiquement c’est moins visible. » Un discours que réfute Laurent Michel : « On a des plans d’action pour limiter les pollutions diffuses. On veut des règlements simples et efficaces. » Et Devedjian dans tout ça ? Il défend son projet de loi au Parlement, raison pour laquelle ni lui ni son cabinet, contactés par Bakchich, n’ont eu le temps de répondre à nos questions. Et notamment celle de l’inscription surprise de cet article dans le projet de loi. « Il n’a fait l’objet d’aucune réunion, d’aucune information préalable. C’est à contre-sens complet du Grenelle, qui érigeait les associations au rang de partenaires dans les discussions », déplore FNE. Une loi par ailleurs présenté et adopté en urgence : elle n’a été débattue qu’une seule fois à l’Assemblée et au Sénat, histoire de faire passer la pilule un peu plus vite. Bah… Pour relancer la France, l’environnement aussi doit faire un effort, non ?


22/01/2009
Devedjian : "Un malus pour les patrons qui ont de mauvais résultats"

Patrick Devedjian a du pain sur la planche. Le ministre chargé de la Relance économique a estimé, jeudi sur France 2, que la croissance de l'économie française serait "autour de zéro" en 2009, précisant qu'il serait "probable que nous n'ayons pas de bons chiffres dans les mois à venir". L'ancien secrétaire général de l'UMP, qui s'est toutefois refusé à faire toute "prévision de croissance", a admis que "la conjoncture ne [serait] pas très porteuse" cette année. "Ce n'est pas le peine de broyer du noir comme ça, moi ce qui m'intéresse, c'est l'action", a indiqué celui qui occupe par ailleurs les fonctions de président du conseil général des Hauts-de-Seine.
Patrick Devedjian a du pain sur la planche. Le ministre chargé de la Relance économique a estimé, jeudi sur France 2, que la croissance de l'économie française serait "autour de zéro" en 2009, précisant qu'il serait "probable que nous n'ayons pas de bons chiffres dans les mois à venir". L'ancien secrétaire général de l'UMP, qui s'est toutefois refusé à faire toute "prévision de croissance", a admis que "la conjoncture ne [serait] pas très porteuse" cette année. "Ce n'est pas le peine de broyer du noir comme ça, moi ce qui m'intéresse, c'est l'action", a indiqué celui qui occupe par ailleurs les fonctions de président du conseil général des Hauts-de-Seine.
Une action qui, d'après Patrick Devedjian, doit passer par des symboles. Il a ainsi proposé un système de "malus" pour les dirigeants d'entreprise ayant obtenu de mauvais résultats. "Le bonus du chef d'entreprise qui a bien géré son entreprise et qui touche une prime, c'est normal", a-t-il
insisté sur France 2. "Mais l'année suivante qui a été une mauvaise année, où il y a eu peut-être même des erreurs de gestion, il devrait avoir un malus qui affecterait les résultats du bonus", a-t-il poursuivi, comme il l'a expliqué jeudi au Parisien/Aujourd'hui en France . "On pourrait par exemple geler pendant cinq ans le bonus" et lui soustraire le montant des pertes, a-t-il détaillé sur France 2.
Enfin, Patrick Devedjian, chargé de la Relance, a ironisé sur le "contre-plan de relance" de 50 milliards d'euros présenté mercredi par le Parti socialiste , s'étonnant que l'opposition "n'ait pas proposé 100 milliards". "De toute façon, leur plan, personne ne le mettra jamais en vigueur", a-t-il raillé. Et d'insister : "Ils peuvent dire n'importe quoi, ils ne le feront jamais." Patrick Devedjian est aussi sur la même longueur d'ondes que le sénateur-maire socialiste de Dijon, François Rebsamen, proche de Ségolène Royal, qui a déclaré que le "contre-plan" de son propre parti ne comportait "aucune idée novatrice". "C'est bien vrai", a-t-il soutenu.
source: http://www.lepoint.fr/


19/12/2008
Francois Devedjian (fils de ...) ne respecte pas la loi

Francois Devedjian, fils de Mr devedjian, avocat comme papa, s est permis de circuler sans permis.
Il est désormais privé de voiture
François Devedjian, avocat dans un grand cabinet ayant sa filiale française avenue Hoche (environ 500 collaborateurs en Europe), n’a plus de voiture depuis le 7 décembre, indique Le Parisien, qui précise qu’il s’est fait immobiliser son 4x4 Place de la Concorde
Objectivement, je savais que mon recours n'était pas suspensif et que je ne pouvais plus prendre ma voiture. Je savais que je prenais un petit risque à continuer à rouler dans ces conditions. Maintenant, je ne conduis plus du tout… », a-t-il expliqué le 10 décembre à Stéphane Sellami, du Parisien.
Pour un avocat (et fils d’avocat, par surcroît fils de ministre depuis deux jours), cela fait un peu désordre. C’était également à la hauteur de la Place de la Concorde que, en octobre 2005, M. M’hamed Bellouti, frère d’un militant UMP, s’était fait emboutir sa voiture par un scooter ; il avait donné à la police et à son assureur comme numéro d’immatriculation celui de Jean Sarkozy, alors fils du ministre de l’Intérieur, qui depuis a été relaxé, après près de trois ans de procédure.
http://menilmontant.numeriblog.fr/
10/12/2008
Relance : coup de genie de Devedjian !

**********Avec ce coup de génie, la campagne pour la re conquete des qq points de croissance est relancée !


05/12/2008
Patrick Devedjian serait nommé ministre de la Relance
Patrick Devedjian va être nommé au poste de ministre chargé de l'exécution du plan de relance économique de 26 milliards d'euros dévoilé jeudi par Nicolas Sarkozy, a-t-on appris vendredi de sources parlementaires, confirmant des informations publiées par Le Monde.
Le ministre de l'Immigration, Brice Hortefeux, le remplacera au poste de secrétaire général de l'UMP, a-t-on ajouté de même source.
http://fr.news.yahoo.com/4/20081205/tts-crise-plan-relance-devedjian-sources-ca02f96.html
14/09/2008
A qui doit on Edvige ? ou les Stars cachées du fichage

**
Section de l'intérieur |
Président |
M. Yves Robineau |
Secrétaire |
Mme Myriam de Franceschi |
Nom complet: SOISY D'ABORD LISTE D'UNION POUR LA DEFENSE DES INTERETS COMMUNAUX
Nuance: Liste divers droit
Plainte contre l’ancien maire
Le Parisien | 19.03.2008 | 07h00
» Aujourd’hui, ces attaques semblent avoir passé un cap. « Je crains pour mon intégrité physique.
J’ai été menacée », s’effraye-t-elle. Certains l’auraient appelé Eva Braun, du nom de la compagne d’Adolph Hitler… « J’ai des témoins », assure Eva Loubrieu. « Depuis qu’elle a quitté notre liste, je ne l’ai jamais revue », conteste Jean-Claude Morinière. L’ex-maire était hier injoignable.
Un décret en Conseil d'État est un texte réglementaire de droit français élaboré selon une procédure différente de celle d'un décret simple.
Il porte en fin des visas la mention : « Le Conseil d'État entendu ».
Le décret en Conseil d'État résulte soit :
- des dispositions de l'article 37 de la Constitution
- d'une loi
- d'un autre décret
- de la volonté du Gouvernement en raison de l'importance de l'objet du projet de décret
- Le Conseil d'État français est alors saisi du projet préparé par le Gouvernement et son avis doit être recueilli après que les autres organismes dont la consultation était requise ou souhaitée ont rendu leurs avis.
- En l'occurence la CNIL.
Le défaut de consultation du Conseil d'État lorsque celle-ci est obligatoire en application d'une disposition formelle rend le décret illégal.
- Evidemment Mr Yves Robineau dit "le célebre inconnu" a validé.
Enfin, un décret en Conseil d'État ne peut être modifié que par un décret pris selon les mêmes règles.
Et on apprend que Devedjian voudrait une loi pour recadrer Edvige...c'est un decret qu'il faut Saint Patoch !
que Sarkozy ne nous fasse pas croire qu'il est de l'avis du peuple !
Il est à l'origine du décret qui a forcement été porté à sa connaissance.
Parlons peu, parlons bien.
Alain Bauer, spécialiste des questions de sécurité. "C'est nouveau, mais pour les amnésiques. Les mineurs sont fichés depuis l'ordonnance de 1945. La vraie question est donc : faut-il ficher les mineurs ?
Bonne question ...
Faut il ficher systematiquement et de façon generalisée tous les individus susceptibles de porter atteinte à l'ordre public...?
Du point de vue de qui ?
Et qui juge qu'un trouble à l'ordre public est justifiable ou non ?
Ne faut il pas parfois troubler l'ordre public pour etre entendus ?
Parce que les personnes "suceptibles de porter atteinte à l'ordre public" sont légions.
Qui ne l'est pas finalement ?
- Le fichage des personnalités :
Bien sur, les people auront tôt fait de déclarer :
"Oh non je suis fichable par les RG,quelle horreur...et ma vie privée ?"
Et nous avons bien besoin de ces people pour nous opposer de façon publique et forte.
En aurait il été autrement si le fichage des personnalités n'etait pas inscrite au decret ?
:-)
Les autres fichiers :
Cristina, STIC, JUDEX : d'autres fichiers encore méconnus
Si le fichier Edvige fait grand bruit ces derniers jours, il existe bien d’autres fichiers chargés de recenser les individus pour différentes raisons. Ainsi, la police et la gendarmerie disposent de nombreux fichiers. Les principaux sont : STIC, JUDEX, FNAEG, FPR et SALVAC.
Le Système de Traitement des Infractions Constatées (STIC) a été créé en 2001. Ce fichier permet de recenser tous les procès-verbaux des victimes comme des suspects dans toutes sortes d’infractions. Le STIC contient environ 5 millions de noms et 35 millions de procédures. C’est le plus gros fichier que possède la police. Les gendarmes détiennent également un énorme fichier, le JUDEX qui devrait fusionner avec le STIC afin de croiser les données.
Le FNAEG et le FPR sont deux fichiers, appartenant l’un et l’autre à la police et à la gendarmerie. Ils recensent, de façon automatique, les empreintes digitales. Le Fichier des Personnes Recherchées (FPR) est le plus consulté. Le Système d'Analyse et de Liens de la Violence associée au Crime (SALVAC) concerne les tueurs en série.
Les services secrets ont également leur propre fichier. Classé « secret défense », le fichier Cristina (Centralisation du renseignement intérieur pour la sécurité du territoire et les intérêts nationaux) collecte des données personnelles sur toutes personnes qui seraient une menace pour la sécurité de l’Etat ainsi que leurs proches. Issu de l’ancien fichier de la DST, le fichier Cristina n’est soumis à aucun contrôle.
http://www.politique.net/2008091003-edvige-cristina-judex-des-fiches-de-renseignements.htm
voir aussi :
Les fichiers secrets de la gendarmerie en plus d'Edvige
Rappelons qu'aucun pays democratique ne dispose d'un tel fichier.
Que se passerait il si nous demandions tous notre fiche RG à la CNIL ?
Idée à suivre...:-)
la difference est notable entre "etre susceptible de porter atteinte à l'ordre publique" et "etre une menace à la sureté de l'Etat"...tout ceci n'est qu'une question d'appreciation...einh Nico ?
Pour finir,
l'abrogation du decret semble bien sur necessaire et indispensable,
ce qu'il apparait aussi c'est que les modifictaions suggerées cette semaine à propos d'Edvige ne sont que poudre aux yeux.
Il suffira que le pouvoir demande que les informations sur l'orientation sexuelle et politique se deplacent d'Edvige à Cristina pour que non seulement personne ne s'en apercoivent mais aussi que ce type d'informations sont maintenues,conservées,partageables et sans aucun controle...
La mobilisation citoyenne ira t elle jusqu'a Cristina ...? non
A t on parlé d'ELOI ?
non ..
cherchez...;)
Tout ce que nous faisons est archivé...
Reportez vous a cette jolie non chanson ->
et profitez de la ballade...
dernier morceau du player ;)
**La suite et fin de ton message blog.**

