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21/04/2012

Un militant écologiste interné de force en psychiatrie

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Un militant écologiste interné de force en psychiatrie

Jean-Pascal [1], militant écologiste, ne s’attendait certainement pas à se retrouver en hôpital psychiatrique pour avoir mené une action non-violente. Tout commence, rappelle la Ligue des droits de l’homme en Languedoc-Roussillon, lorsque Jean-Pascal apprend que le maire de la commune de Loupian (Hérault) demande le déclassement de l’unique zone Natura 2000 du village. Pour protester contre la fin annoncée d’une zone protégée, le militant s’enchaîne le 26 mars à un puits, dans les locaux de l’hôtel de ville. La gendarmerie intervient, et là, la machine administrative s’emballe. À l’appel du parquet, un médecin des pompiers soutenu par le maire décide de l’hospitalisation psychiatrique d’office. Résultat, Jean-Pascal se trouve à l’isolement à l’hôpital de la Colombière à Montpellier, depuis plus d’une semaine.
En cause, la loi du 5 juillet 2011 relative « aux droits et à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et à leurs modalités de prise en charge ». Avec cette loi portée par l’équipe Sarkozy, « tous les "troubles à l’ordre public" peuvent être dorénavant psychiatrisés, solution de facilité qui entraîne une privation de liberté pendant au moins 48 heures », souligne la LDH. En l’occurrence, la gendarmerie indique que l’action de Jean-Pascal troublait l’ordre public et que le militant présentait, selon le maire de Loupian, « un danger pour lui-même ». « C’est faux, c’est un militant qui fait des actions un peu radicales, mais qui est totalement sain d’esprit », ont rappelé le 30 mars une cinquantaine de personnes, venues manifester leur indignation devant la mairie de Loupian.
Pour que le militant puisse être libéré, il faut maintenant que les médecins de l’hôpital psychiatrique et le préfet s’entendent pour le décider. Face à une situation digne d’un roman de Kafka, une pétition et un groupe de soutien à Jean-Pascal ont été mis en place.

[Mise à jour du 4 avril 2012] : Jean-Pascal vient d’être libéré. Il était interné depuis le 26 mars.
Lire aussi : Les maux du quinquennat : « victimes » et « fou »

Notes

[1] À la demande de ses proches, le nom de famille de de Jean-Pascal n’est pas divulgué

merci à Sophie Chapelle de.bastamag.net

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« Dégage Sarkozy ! », un slogan interdit ?

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« Dégage Sarkozy ! », un slogan interdit ?

Une enquête pour « offense au chef de l’État » visant le collectif basque Bizi ! vient d’être ouverte par le parquet de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). Selon Bizi !, mouvement luttant pour l’urgence écologique et prônant la justice sociale, au moins deux de ses militants ont été entendus le 17 avril par les enquêteurs. Plusieurs autres devraient l’être dans les jours qui viennent. Après la visite mouvementée de Nicolas Sarkozy à Bayonne le 1er mars dernier, le collectif a lancé une campagne « Dégage Sarkozy, Milesker Baiona » (« merci Bayonne » en basque) pour manifester son opposition à la politique menée par le président français en matière sociale et écologique.
    À l’occasion d’une action le 14 avril, Bizi ! a installé dans le centre-ville de Bayonne un panneau géant décoré du slogan « Dégage Sarkozy, Milesker Baiona », mettant en scène une personne bottant les fesses du président sortant. Une vingtaine de policiers ont essayé en vain de démonter ce panneau, renonçant devant les protestations des passants et des habitants. Or, cette action est « susceptible de constituer un délit de presse » passible d’une amende maximum de 45 000 euros, a indiqué la procureure de la République de Bayonne à l’Associated Press.

    Dans un communiqué, Bizi ! dénonce une « tentative d’intimidation ». Le délit d’offense au chef de l’État serait d’autant plus dénué de tout fondement « que cette campagne fait explicitement référence à l’accueil reçu par Nicolas Sarkozy à Bayonne le 1er mars dernier, à l’occasion d’une visite qu’il effectuait en tant que candidat à l’élection présidentielle et non pas en tant que chef de l’État ». Le collectif entend bien récidiver le 21 avril [1] « pour exprimer le refus du président dangereux et démagogique, de "l’environnement ça commence à bien faire", de l’augmentation de l’âge des retraites et de l’enterrement de la taxe carbone ». Un grand pot de départ à Nicolas Sarkozy est également annoncé le dimanche 6 mai dès 18 h dans le Petit-Bayonne, le village qui, selon Bizi !, « résiste encore et toujours à ceux qui traitent ses habitants de voyous et de terroristes… ».

    merci à Sophie Chapelle de.bastamag.net

    lire aussi sur : http://www.bizimugi.eu


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    11/03/2012

    Nouveaux incidents avant un meeting de Nicolas Sarkozy dans la Loire

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    Nouveaux incidents avant un meeting de Nicolas Sarkozy dans la Loire

    Nouveaux incidents avant un meeting de Nicolas Sarkozy dans la Loire
    Les forces de l'ordre ont procédé jeudi à l'évacuation d'environ 200 personnes qui manifestaient à Saint-Just-Saint-Lambert (Loire) devant la salle où Nicolas Sarkozy doit tenir un meeting électoral.
    D'importants renforts de CRS ont utilisé des gaz lacrymogènes et ont barré tous les accès à la salle, qui était déjà pleine de militants venus assister au meeting.
    Les manifestants, des jeunes pour la plupart, brandissaient des drapeaux de la CGT ou des pancartes où l'on pouvait lire "non au président" et "l'insécurité c'est toi Sarkozy".
    Des CRS étaient déjà intervenus jeudi dernier à Bayonne pour dégager les accès d'un café où Nicolas Sarkozy était assiégé par des manifestants socialistes et autonomites basques, un incident dans lequel le camp président a vu la main du PS.

    morandini

    06/02/2012

    Thierry Gaubert, l'ami du président des 54% de votants en 2007

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    .Thierry Gaubert, l’argent immobilier
    Cet ex-collaborateur de Sarkozy comparaît aujourd’hui dans une affaire de détournement de fonds du 1% logement
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    LIBERATION
    PAR RENAUD LECADRE


    Son heure est enfin venue. Thierry Gaubert comparait ce matin devant le tribunal correctionnel de Nanterre pour une ribambelle de délits : abus de confiance, escroquerie, emploi de fausse qualité… Ce proche de Nicolas Sarkozy, ami de trente ans, doit s’expliquer sur ses multiples casquettes : conseiller politique, promoteur immobilier, banquier adepte de comptes offshore.

    Pactole. L’affaire, jugée pendant deux semaines, concerne le 1% : un pourcentage de la masse salariale que les employeurs consacrent au logement des employés (bien que ramené à 0,34%, on l’appelle le 1% logement, devenu Action Logement). Des organismes collecteurs, les CIL (comités interprofessionnels du logement), se disputent le pactole selon leurs affinités professionnelles, géographiques ou politiques. Dans les Hauts-de-Seine, Gaubert était comme un poisson dans l’eau. Le tribunal va se pencher sur des montages immobiliers complexes, permettant à Thierry Gaubert et son comparse le promoteur immobilier Philippe Smadja d’encaisser une plus-value de 2,4 millions de francs en 24 heures, à Levallois-Perret, sur les terres de Patrick Balkany. Ou encore cette curieuse opération à Neuilly, dans le fief de Nicolas Sarkozy, déficitaire pour la commune mais profitable au tandem Gaubert-Smadja.

    «Pourboires». Il sera aussi question de «train de vie excessif sans rapport avec la finalité non lucrative» du 1%, selon l’ordonnance de renvoi en correctionnelle. Outre un salaire annuel de 500 000 francs versés par une filiale, les patrons de ce curieux CIL bénéficiaient d’une kyrielle d’avantages annexes : 70 000 francs de frais de cocktail, 28 000 francs d’amendes de stationnement, un poste «pourboires et dons» de 30 000 francs… Gaubert plaide qu’il n’y a eu «aucun enrichissement personnel, aucun préjudice». Donc pas de victime. De fait, ce procès aurait pu ne pas avoir lieu, car l’affaire a failli se doubler d’un scandale judiciaire. L’enquête avait démarré à la fin des années 90 par des rapports incendiaires de l’IGF (la police de Bercy), de l’Anpeec (tutelle du 1%) et de la Milos (en charge de l’inspection du logement social), résumés par un haut fonctionnaire : «Les rapports font apparaître des fautes graves, la plupart délictuelles.»

    Deux syndicalistes (CGT et CFTC), administrateurs du CIL, portent plainte, mais se font désavouer par leurs centrales syndicales. On se pince à la lecture d’une attestation de la CGT proclamant que «la plainte personnelle déposée n’engage pas la confédération dans toutes ses structures». Pas question pour les syndicats de salariés de se mêler des tambouilles patronales, le 1% logement étant le domaine réservé du Medef.

    Lequel manifeste peu d’enthousiasme au grand déballage, d’autant que son vice-président en charge du logement a longtemps été Louis-Charles Bary, premier adjoint de Nicolas Sarkozy à la mairie de Neuilly. «On nous avait demandé de faire le ménage en douceur, Gaubert ayant une impunité», souligne un proche du Medef. Le patronat finira par se joindre à la plainte des deux syndicalistes - bien que désavoués, ils persisteront. Au tribunal de grande instance de Nanterre, valsent les magistrats tandis qu’un seul policier est affecté à l’enquête. Dix ans de perdus avant que le juge d’instruction Richard Pallain ne s’empare du dossier et le renvoie enfin au tribunal.


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    18/11/2010

    La DCRI au cœur de la tourmente des écoutes !

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    La DCRI au cœur de la tourmente des écoutes










    Une note de Matignon confirme une information d’Intelligence Online sur les interceptions pratiquées en France.
    Le malaise était perceptible dans la haute administration française depuis cet été. Le 23 septembre, Intelligence Online avait fait état des inquiétudes que suscitait au Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale l’intervention de la DCRI dans l’affaire Woerth-Bettencourt, à la demande de l’Elysée (IOL nº625).

    La note "confidentiel défense" envoyée en octobre au ministre de l’intérieur par le directeur de cabinet du premier ministre, le préfet Jean-Paul Faugère, et dont le contenu a été révélé par France info la semaine dernière, s’inscrit dans ce cadre. Celle-ci rappelle opportunément que "la loi interdit aux services de renseignement de se procurer directement des factures détaillées auprès des opérateurs téléphoniques“, et que "l'article 20 de la loi du 10 juillet 1991 sur les interceptions de sécurité ne peut être invoqué pour recueillir des données personnelles". On ne peut mieux confirmer les craintes de Matignon après que la DCRI eut identifié en juillet les relations téléphoniques entre un journaliste du Monde et un membre du cabinet du ministre de la justice.

    La mise en garde de Matignon conduira-t-elle à lever certaines ambigüités de la loi, comme le souhaite Rémi Récio, le délégué général de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) ? La question a été débattue dans les cabinets ministériels. Sans résultat pour l'instant. Le 10 novembre, François Fillon s’est ainsi contenté de ce sobre commentaire à l’Assemblée nationale : "Le strict respect des libertés (...)impose que les interceptions et toutes les données qui s'y rattachent soient strictement limitées et soient contrôlées de façon étroite". Et, il y a trois semaines, la commission des lois du Sénat a rejeté deux amendements des socialistes Jean-Pierre Sueur et Richard Yung visant à préciser le sens de cet article, et à renforcer le pouvoir de contrôle de la CNCIS. Ce rejet ne clôt pas pour autant le débat au Parlement. Selon nos sources, les sénateurs PS présenteront à nouveau leurs amendements en séance publique fin décembre, lors du vote d’un projet de loi dit “de simplification et d’amélioration du droit“. un article propulsé par TORAPAMAVOA :
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    04/11/2010

    Un camp de Roms attaqué par un commando cagoulé: le triple effet Sarkozy, Hortefeux, Pernaut (Plume de Presse)

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    Un camp de Roms attaqué par un commando cagoulé: le triple effet Sarkozy, Hortefeux, Pernaut

    Ça s’est passé en France, près de Paris, dans les Yvelines : « Des hommes cagoulés et armés, habillés comme des policiers, décrit 20 minutes, « se sont introduits dans un camp de Roms ». Le récit est terrifiant « ces hommes ont fait irruption dans le camp de la plaine de Triel-sur-Seine vers deux heures du matin dans une voiture munie d’un gyrophare. Ils ont pénétré dans des caravanes avec des fusils et des matraques, arrachant certaines portes. Plusieurs personnes du camp ont indiqué avoir été molestées et menacées avec des armes à feu, une femme précisant avoir été obligée de se déshabiller. L’agression aurait duré une demi-heure, les hommes cagoulés tirant en l’air à plusieurs reprises. Les habitants du camp ont précisé que leurs agresseurs «étaient habillés comme des policiers». «Ces familles ne pourront jamais oublier ce qu’elles ont vécu. Le plus dramatique est que ces hommes sont repartis avec les papiers d’identité de plusieurs personnes du camp», a indiqué Annick Omond, du Collectif de soutien aux familles roms de la plaine de Triel-Chanteloup. 

    http://www.plumedepresse.net/un-camp-de-roms-attaque-par-un-commando-cagoule-le-triple-effet-sarkozy-hortefeux-pernaut/
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    14/10/2010

    Une manifestante violemment frappée au visage par un CRS(vidéo)

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    Une manifestante violemment frappée au visage par un CRS
    envoyé par rue89.

    Le journaliste William Amsellem a tourné ces images rue du Commandant-Lamy, à Paris, dans le quarter de Bastille, vers 20h40 mardi soir.

    http://www.dailymotion.com/video/xf7hbm_une-manifestante-violemment-frappee_news
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    31/07/2010

    bientot : 2 ans de prisons pour les parents de delinquants...........

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    Mineurs délinquants: Ciotti (UMP) propose jusqu'à deux ans de prison pour les parents
     Le secrétaire national de l'UMP en charge de la Sécurité, Eric Ciotti, qui prépare un texte sur la responsabilité pénale des parents des mineurs délinquants, propose deux ans de prison ferme quand ceux-ci n'auront pas fait respecter les obligations auxquelles seront soumises leurs enfants condamnés.
    "Les parents du mineur encourront alors une condamnation pénale qui pourra aller jusqu'à deux ans de prison", a annoncé M. Ciotti dans une interview au Journal du Dimanche à paraître dimanche.
    "La phrase exacte de la proposition de loi sera: "+Est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende, le fait par le père ou la mère de laisser son enfant mineur, lorsque celui-ci a été poursuivi ou condamné pour une infraction, violer les interdictions et les obligations auxquelles il est soumis", a précisé le député des Alpes-maritimes.
    L'objectif de la proposition de loi que M. Ciotti prépare avec son collègue Edouard Courtial est que, "systématiquement, en cas de condamnation d'un mineur, le magistrat mette en place un plan de probation sous la responsabilité" des parents. Le jeune aura alors des interdictions claires, souligne M. Ciotti, comme celle de paraître dans certains lieux, ou d'entrer en relation avec certaines personnes, et aussi des obligations en termes de résultats scolaires.
    "Ce plan de probation fonctionne déjà avec succès dans certains pays, notamment au Canada", assure M. Ciotti.
    Si cette probation n'est pas respectée, alors les parents risquent alors jusqu'à deux ans de prison, a-t-il souligné.
    Pour le responsable UMP, cette loi doit "réaffirmer au sein de l'édifice familial cette responsabilité dont les bases ont été sapées depuis mai 1968".
    Le code pénal prévoit deux ans d'emprisonnement et 30.000 euros d'amende pour tout parent qui n'aurait pas satisfait à ses obligations légales au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l'éducation de son enfant mineur, a rappellé M. Ciotti. "A ces dispositions pourra être ajouté le fait de violer les obligations ou interdictions auxquelles il est soumis par une décision de justice".
    Qualifiant d'"enjeu essentiel" la délinquance des mineurs, M. Ciotti a relevé qu'elle a tendance à augmenter, et que "des enfants de plus en plus jeunes sont concernés par des faits de plus en plus graves". "Il est essentiel de remettre les parents démissionnaires face à leurs responsabilités".
    M. Ciotti, qui était déjà en charge du texte prévoyant la suspension des allocations familiales pour lutter contre l'absentéisme scolaire, a aussi estimé que "l'opposition est dans le déni de réalité" face aux problèmes de sécurité.
    En recevant fin juin les députés UMP à l'Elysée, Nicolas Sarkozy avait indiqué qu'il "verrait avantage à ce que le groupe UMP prépare une proposition de loi pour sanctionner les parents d'enfants mineurs délinquants". Il avait ensuite annoncé qu'il avait demandé au gouvernement de préparer un texte de loi permettant "la mise en cause de la responsabilité de parents" dans des cas où leurs enfants mineurs seraient impliqués dans des faits de délinquance.

    afp
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    26/07/2010

    Une fillette fait pipi pres d'un arbre : 450€ d’amende !

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    . 450€ d’amende pour un pipi près d’un arbre
    dimanche 25 juillet 2010

    Pipi sous un arbre, tu ne feras point. Voilà un commandement qui fait des besoins naturels une infraction passible d’une amende pouvant aller jusqu’à 450 euros ! C’est en tout cas ce qu’a constaté Stéphane P., papa de la petite Éléonore, 3 ans, qui s’est vu infliger une contravention par la police municipale de Lyon pour le pipi de sa fillette.
    Selon un quotidien régional, la petite fille qui se trouvait avec son papa dans la queue d’un restaurant a eu soudain une envie pressante. Son père, voulant faire au plus vite l’a entraînée dehors. « On a traversé la grande terrasse, descendu les marches ».
    La fillette a fait son petit pipi sur la terre et des feuilles, près d’un arbre. « Deux policiers municipaux à vélo sont passés. La femme m’a fait remarquer que la petite n’avait pas le droit d’uriner là et que les wc publics étaient proches. Je me suis alors excusé » raconte Stéphane P., qui, à la suite d’une opération, ne se déplace qu’en béquilles. Mais l’autre policier lâche : « je ne supporte pas ce genre d’attitude ».
    Le ton monte alors et la contravention tombe, pour « miction sur la voie publique ». Stéphane P. la conteste. « Alors ce sera le tribunal » aurait rétorqué le policier. Cependant, « au vu de la tournure des événements », la municipalité de Lyon souhaite ne pas donner suite par « mesure d’apaisement ».
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    LA Reponse des Tziganes à la guerre de Sarkozy ..

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    Le Président de la République a déclaré la guerre aux gens du voyage et aux Rroms. Les Tziganes entendent répondre par une déclaration de paix pour éviter une explosion sociale.

    24/06/2010

    Sarkozy-93: Un jeune arrêté pour insultes

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    Sarkozy-93: Un jeune arrêté pour insultes

    Un homme a été interpellé mercredi soir pour avoir insulté Nicolas Sarkozy alors que ce dernier effectuait une visite surprise en Seine-Saint-Denis, en banlieue parisienne, ont annoncé des syndicats de policiers. Selon eux, le jeune homme âgé d'une vingtaine d'années a été arrêté avant minuit à la gare SNCF de Saint-Denis, l'une des étapes de la visite présidentielle. Le chef de l'État, qui était accompagné du ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, a rencontré tour à tour des chauffeurs de bus, des policiers et discuté avec la population, notamment dans la Cité des 4.000 de La Courneuve où il avait créé la polémique en affirmant en 2005 sa volonté de nettoyer la cité au "Kärcher".
    lejdd

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    17/05/2010

    Il y aurait 25% de malades mentaux en détention.

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    faut bien etre au senat pour ignorer cela !!!
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    Un rapport s'inquiète de l'afflux de malades mentaux en prison


    Il y aurait 25% de malades mentaux en détention, selon un rapport du Sénat. Un chiffre en constante augmentation.


    Il y aurait 25% de malades mentaux en détention. (AFP)



    Dans un rapport présenté ce mardi 11 mai, des sénateurs ont tiré la sonnette d'alarme sur l'afflux de personnes atteintes de troubles mentaux dans les prisons françaises.


    02/04/2010

    rouen:Un père menacé d'expulsion

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    Deux jeunes enfants et leur mère pourraient être séparés du papa, sous le coup d'une expulsion vers le Niger, son pays d'origine.

    25/03/2010

    Combien de Pv veut Sarkozy pour 2010 ? (la réponse ici)

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    PV à Paris : les chiffres de la course au rendement

    : Le Parisien s'est procuré un document émanant, assure-t-il, de la préfecture de police et qui fixe des objectifs de contraventions par catégorie

    Les trois compagnies centrales de circulation parisiennes auraient pour mission de dresser environ 50 000 contraventions rien que pour les stationnements gênants. Selon des sources policières, ce chiffre ne prend pas en compte les objectifs des autres services de la capitale. « Certains, chez nous, parlent même d’opération tirelire. On travaille avant tout pour renflouer les caisses de l’Etat », commente un policier

    Combien de PV en 2010 ?


    Les trois compagnies centrales de circulation parisiennes auraient pour mission de dresser environ 50 000 contraventions rien que pour les stationnements gênants. Selon des sources policières, ce chiffre ne prend pas en compte les objectifs des autres services de la capitale. « Certains, chez nous, parlent même d’opération tirelire. On travaille avant tout pour renflouer les caisses de l’Etat », commente un policier.


    18/03/2010

    Sarkozy veut 30 ans incompressibles pour les tueurs de policiers

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    Sarkozy veut 30 ans incompressibles pour les tueurs de policiers

    - Les assassins de policiers devraient être systématiquement passibles de la réclusion à perpétuité assortie d'une peine de prison incompressible de 30 ans, déclare Nicolas Sarkozy.


    Prenant la parole au commissariat de Dammarie-lès-Lys, dont un policier a été abattu mardi par des membres présumés de l'organisation séparatiste basque ETA, le président a estimé en outre que la moindre insulte contre des membres des forces de l'ordre devait faire l'objet de poursuites judiciaires.
    Il s'agit ainsi d'éviter une escalade qui, selon lui, peut déboucher sur des morts de policiers ou gendarmes.
    Si on accepte ces insultes à l'encontre d'un fonctionnaire de police, "ça veut dire qu'on se prépare à accepter par la suite que la même personne soit frappée et que si on accepte que la même personne soit frappée au prétexte qu'il est fonctionnaire, alors qu'on se prépare à ce qu'elle soit blessée et si on accepte ça, on a les assassinats", a-t-il dit.

    30/12/2009

    Taser au centre de Retention ...

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    La Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) vient de rendre public un avis <http://www.raidh.org/IMG/pdf/CNDS_vincennes.pdf> caractéristique de l’ensemble des dérives possibles de l’usage du Taser X26 en France. L’institution indépendante - dont la disparition est programmée - dévoile les violations des conditions d’usage du Taser à l’encontre d’une personne retenue au CRA de Vincennes, met à jour les dysfonctionnements de l’arme et s’interroge sur la non coopération de la police des polices. Face à ces violations manifestes des droits de l’Homme, RAIDH saisit le Comité contre la Torture des Nations Unies.

    29/12/2009

    Non à l’expulsion de Boussad Aroudj

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    Non à l’expulsion de Boussad Aroudj


    Boussad Aroudj est algérien, étudiant étranger à l’université Paris 3 en DU ECDF. Parce qu’il est tombé malade et qu’il a changé d’orientation son titre de séjour n’a pas été renouvelé par la préfecture. Il est donc devenu étudiant sans-papiers. Au cours d’un voyage en train dans le sud de la France il a été contrôlé et interpellé par la police, puis placé en centre de rétention. Le tribunal administratif lui a délivré une obligation de quitter le territoire français.
    Nous, amis, étudiants, enseignants sommes scandalisés par cette arrestation et nous nous opposons à son expulsion.
    Nous réclamons la régularisation et la libération de Boussad Aroudj afin qu’il termine ses études à Paris 3 et puisse librement décider de son avenir.
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    24/11/2009

    Un étudiant raconte des "violences policières" à Paris

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    Anyss Arbib, étudiant de 21 ans en quatrième année de Sciences-Po Paris, raconte à Libération du mardi 24 novembre avoir été victime de violences policières au soir de la qualification de l'Algérie pour la Coupe du monde

    Le jeune homme de 21 ans affirme avoir été témoin et victime de "violences policières aveugles" le soir de la qualification de l'Algérie pour la Coupe du monde.


    Anyss Arbib, étudiant de 21 ans en quatrième année de Sciences-Po Paris, raconte à Libération du mardi 24 novembre avoir été victime de violences policières au soir de la qualification de l'Algérie pour la Coupe du monde. Sur sa page Facebook, Anyss Arbib se présente : "Moi, Anyss, Français d'origine marocaine, honnête citoyen et étudiant à Sciences Po".

    Mercredi, à l'occasion d'une soirée après le match Egypte-Algérie à Paris, Porte Maillot, le jeune homme a été victime de "violences policières aveugles" en raison de son origine. Lui et son ami ont été aspergés de gaz lacrymogène par un CRS avant d'être insulté : "Dégage, sale Arabe !". Sur Facebook, il écrit : "Je ne pouvais même pas lui répondre que j'étais au moins autant français que lui, la menace physique et l'impunité étant bien trop grandes. Mon honneur, mes valeurs et mes certitudes sous le coude, je rentrais chez moi blessé... par la nation. Blessé dans une guerre franco-française qui, malheureusement, semble être banalisée".

    "Discrimination au faciès"

    L'étudiant raconte également avoir été témoin de violences policières. Des CRS "donnent des coups de matraque à toute personne en dehors de sa voiture ; ils cognent sans raison et sans aucun ménagement". Anyss Arbib assiste également à "une scène hallucinante" : des policiers en civil "sortent un jeune de son véhicule avant de le rouer de coup sans retenue. Ils ont cessé lorsque des témoins se sont mis à crier 'Arrêtez, vous allez le tuer !'".
    Le jeune homme ne souhaite pas être "dans la victimisation", mais apporter un "témoignage des dérives auxquelles j'ai assisté".
    Dans son éditorial, Paul Quinio dénonce "ce que supportent quotidiennement des milliers et des milliers de jeunes et de moins jeunes Français : la discrimination au faciès. [Ce n'est] pas simplement insupportable, [c']est intolérable".

    (Nouvelobs.com)


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    14/11/2009

    Rouen : la police rafle des sans-papiers qui venaient chercher à manger aux Restos du Coeur.

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    Ah, on n'est jamais déçu avec la police française !

    Nos pandores se sont à nouveau illustrés en organisant cette fois une rafle de sans-papiers qui venaient chercher de quoi manger aux Restos du Coeur, à Rouen, le 14 octobre, place des Emmurés.

    Cette action d'éclat doit faire frétiller de joie Besson-la-traîtrise, ministre de la chasse aux clandestins.

    Nous espérons que, conformément à sa tradition, la police a arrêté aussi les enfants, par soucis d'humanité, pour ne pas les séparer de leurs parents.

    Voici un communiqué des Restos du Coeur, du 20 octobre, disponible sur leur site ( http://www.restosducoeur.org/lire_news.php?id=55 )

    lire la 'article complet:http://www.rouenalternatif.com/

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